Au Maindombe, beaucoup de choses n'ont pas changé, du mois sur la gestion de la vie quotidienne de la part de notre peuple. Quand on y est ou quand on y va, on retrouve les mêmes réalités: les pêcheurs avec leurs pirogues; les femmes qui rentrent des champs avec des corbeilles pleines; des enfants qui, dès qu'ils entendent les vrombissements d'une jeep, sortent des parcelles pour vous saluer
; les danses traditionnelles à l'occasion des sorties de repos de maternités des femmes... Tous ces faits provoquent des sentiments non seulement de pitié mais créent aussi une nostalgie qui n' a pas de nom
. Chacun y voit son enfance, du moins pour ceux qui ont grandi au village avant de se transférer dans des cités. De quoi dire : souffrance et nostalgie. Photos :
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samedi 29 novembre 2008
Souffrance et nostalgie.
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