Cette union de la Mère avec son Fils dans
l’œuvre du salut est manifeste dès l’heure de la conception virginale du Christ
jusqu’à sa mort ; et d’abord quand Marie, partant en hâte pour visiter Élisabeth,
est saluée par elle du nom de bienheureuse pour avoir cru au salut promis,
tandis que le Précurseur tressaillait au sein de sa mère (cf. Lc 1, 41-45) ;
lors de la Nativité ensuite, quand la Mère de Dieu présenta dans la joie aux
pasteurs et aux mages son Fils premier-né, dont la naissance était non la perte
mais la consécration de son intégrité virginale . (Vatican II, Lumen Gentium, 57)
" Par nature, la récitation du Rosaire exige que le rythme soit calme et que l'on prenne son temps, afin que la personne qui s'y livre puisse mieux méditer les mystères de la vie du Seigneur, vus à travers le cœur de Celle qui fut la plus proche du Seigneur, et qu'ainsi s'en dégagent les insondables richesses".
Jean-Paul II, Lettre Apostolique Rosarium Virginis Mariae, 16 Octobre 2002).
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