« Le seigneur a fait pour moi des merveilles, saint est son nom » (Lc 1, 49)
C’est le magnificat que nos sœurs de l’Immaculée Conception ont entonné aujourd’hui ensemble avec les chrétiens de St Albert et Saint Jean au cours de l’Eucharistie présidée par Mgr Philippe Nkiere. Une Eucharistie pour rendre grâce au Seigneur pour les 40 ans de la Congrégation des nos sœurs diocésaines.
Mgr l’évêque est parti du livre de l’Apocalypse (Ap. 12, 1- ) pour montrer que la congrégation de nos Sœurs est un signe venu du ciel. Et comme Marie (Lc 1, 39-49), il nous faut rendre grâce au seigneur.
La sœur Adolphine Umba a donné quelques signes d’émerveillement pendant les quarante ans d’existence de la congrégation, mais aussi quelques épreuves endurées (le dragon qui s’est posté pour dévorer l’enfant cf A p. 12,4).
Les émerveillements
· La fondation et l’érection canonique de la Congrégation des SCIC avec son charisme propre.
· Le développement de la congrégation dans le diocèse par le nombre accru des sœurs : de 15 sœurs (noyau en provenance des sœurs de l’enfance) à 1324 aujourd’hui, dont 84 à vœux perpétuels, 28 à vœux temporaires, 11novices et 5 postulantes.
· Les nouvelles entrées caque année dans la congrégation ;
· La présence des jubilaires dans la congrégation :
à 22 jubilaires d’argent
à 1 jubilaire (en provenance de l’enfance de Jésus)
à 1 qui a accompli déjà 50 ans depuis son entrée au couvent, bientôt s’il plaît à Dieu elle fêtera aussi son jubilé d’or. C’est la Sœur Angèle Mbo (en Provenance des SEJ)
· L’ouverture des nouvelles communautés : de 3 communautés au début à 16 communautés aujourd’hui : Inongo (3 communautés), Bokoro (3 communautés), Kutu (2), Makaw, Taketa, Oshwe, Nioki, Mushie, Kinshasa, Kiri, Mpenzwa. Projection de 2 nouvelles communautés hors du diocèse.
· Les œuvres apostoliques :
· Enseignements à tous les niveaux, du jardin d’enfants jusqu’à l’enseignement supérieur.
· Service médical dans les hôpitaux et dispensaires et maternités,
· Catéchèse et encadrement des groupes apostoliques bana Mwinda, KA, BYM, Lefio Junior, Adultes.
· En plus des œuvres léguées par les SEJ, les SCIC ont conçu d’autres types d’apostolat comme l’encadrement et la formation des jeunes filles-mères abandonnées, l’encadrement et l’association des mamans veuves pour un mieux vivre.
· Le foyer social l pour la formation des femmes en général.
· Les SCIC s’occupent aussi des handicapés pour les réhabiliter en les envoyant chez les frères de charité Nioki.
· Elles s’occupent aussi des enfants et adultes malnouris dans leurs centres de santé.
· Elles participent aux activités paroissiales
D’une manière générale, nous remercions le Seigneur pour sa paix. Par nos deux évêques, nous sentons la protection divine soutenues par toute l’Eglise nous entons le courage d’aller de l’avant.
Les épreuves endurées pendant les 40 ans
· Dès le début de la congrégation, abandon momentané par les SEJ après la séparation ;
· Le conflit entre l’Eglise et l’Etat lors de la 2ème République. Cela a entraîné des tracasseries, menaces, injures, insécurités. Tozalaki « mindele ya lomposo moindo » (blanches à peau noire), qu’il fallait tenir à l’œil, avec la politique dur recours à l’authenticité.
· Défense du cours de religion dans les écoles
· Suppression des images et statuts.
· Les incompréhensions, les menaces et les attaques de la population dans certaines paroisses nous ont obligées à fermer les communautés (ex : Bokoro et Taketa).
· Les maladies et la mort de nos cœurs ainsi que nos prêtres diocésains et missionnaires sans oublier celles de nos bienfaiteurs nous affectent profondément.
C’est le magnificat que nos sœurs de l’Immaculée Conception ont entonné aujourd’hui ensemble avec les chrétiens de St Albert et Saint Jean au cours de l’Eucharistie présidée par Mgr Philippe Nkiere. Une Eucharistie pour rendre grâce au Seigneur pour les 40 ans de la Congrégation des nos sœurs diocésaines.
Mgr l’évêque est parti du livre de l’Apocalypse (Ap. 12, 1- ) pour montrer que la congrégation de nos Sœurs est un signe venu du ciel. Et comme Marie (Lc 1, 39-49), il nous faut rendre grâce au seigneur.
La sœur Adolphine Umba a donné quelques signes d’émerveillement pendant les quarante ans d’existence de la congrégation, mais aussi quelques épreuves endurées (le dragon qui s’est posté pour dévorer l’enfant cf A p. 12,4).
Les émerveillements
· La fondation et l’érection canonique de la Congrégation des SCIC avec son charisme propre.
· Le développement de la congrégation dans le diocèse par le nombre accru des sœurs : de 15 sœurs (noyau en provenance des sœurs de l’enfance) à 1324 aujourd’hui, dont 84 à vœux perpétuels, 28 à vœux temporaires, 11novices et 5 postulantes.
· Les nouvelles entrées caque année dans la congrégation ;
· La présence des jubilaires dans la congrégation :
à 22 jubilaires d’argent
à 1 jubilaire (en provenance de l’enfance de Jésus)
à 1 qui a accompli déjà 50 ans depuis son entrée au couvent, bientôt s’il plaît à Dieu elle fêtera aussi son jubilé d’or. C’est la Sœur Angèle Mbo (en Provenance des SEJ)
· L’ouverture des nouvelles communautés : de 3 communautés au début à 16 communautés aujourd’hui : Inongo (3 communautés), Bokoro (3 communautés), Kutu (2), Makaw, Taketa, Oshwe, Nioki, Mushie, Kinshasa, Kiri, Mpenzwa. Projection de 2 nouvelles communautés hors du diocèse.
· Les œuvres apostoliques :
· Enseignements à tous les niveaux, du jardin d’enfants jusqu’à l’enseignement supérieur.
· Service médical dans les hôpitaux et dispensaires et maternités,
· Catéchèse et encadrement des groupes apostoliques bana Mwinda, KA, BYM, Lefio Junior, Adultes.
· En plus des œuvres léguées par les SEJ, les SCIC ont conçu d’autres types d’apostolat comme l’encadrement et la formation des jeunes filles-mères abandonnées, l’encadrement et l’association des mamans veuves pour un mieux vivre.
· Le foyer social l pour la formation des femmes en général.
· Les SCIC s’occupent aussi des handicapés pour les réhabiliter en les envoyant chez les frères de charité Nioki.
· Elles s’occupent aussi des enfants et adultes malnouris dans leurs centres de santé.
· Elles participent aux activités paroissiales
D’une manière générale, nous remercions le Seigneur pour sa paix. Par nos deux évêques, nous sentons la protection divine soutenues par toute l’Eglise nous entons le courage d’aller de l’avant.
Les épreuves endurées pendant les 40 ans
· Dès le début de la congrégation, abandon momentané par les SEJ après la séparation ;
· Le conflit entre l’Eglise et l’Etat lors de la 2ème République. Cela a entraîné des tracasseries, menaces, injures, insécurités. Tozalaki « mindele ya lomposo moindo » (blanches à peau noire), qu’il fallait tenir à l’œil, avec la politique dur recours à l’authenticité.
· Défense du cours de religion dans les écoles
· Suppression des images et statuts.
· Les incompréhensions, les menaces et les attaques de la population dans certaines paroisses nous ont obligées à fermer les communautés (ex : Bokoro et Taketa).
· Les maladies et la mort de nos cœurs ainsi que nos prêtres diocésains et missionnaires sans oublier celles de nos bienfaiteurs nous affectent profondément.
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