A Al’heure actuelle, parler de la mondialisation devient une banalité, en ce sens ci qu’elle a gagné droit de cité jusqu’aux confins de la terre.
C’est dans ce contexte fumant que le Diocèse d’Inongo va en 2007 installer un VSAT pour ouvrir des brèches avec le monde extérieur, dit-on : « mondialisation oblige ».
Avec le temps, il y aura nécessité d’ouvrir l’internet au public pour aider les élèves, étudiants et professeurs à amener à bon escient leur recherches et surtout puisque les instituts supérieurs de la place ne disposent pas d’une documentation solide.
Ce Cyber constituerait à part égale un soulagement pour tous les chercheurs.Mais contre toute attente, ce dernier ne dispose que de deux ordinateurs qui servent tant pour la navigation que pour la saisie. C’est ainsi que la totalité presque de nos services publics est encore à l’ère de la machine à écrire. Dans l’entre-temps, on signale sur place la présence de trois instituts supérieurs dont les étudiants éprouvent toujours la nécessité de faire saisir leurs travaux de fin de cycle comme condition d’obtention de titre académique.
Par ailleurs, il convient de signaler aussi que malgré cet effort de « s’ouvrir au monde », nos étudiants et professeurs ne sont pas encore motivés pour la recherche sur internet.
Bien plus, l’économat diocésain doit payer l’abonnement de 1800€ par an pour la connexion, mais les recettes du Cyber ne couvrent même pas en dixième cette somme.
Senghor BEBE
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