Dans l’évangile d’aujourd’hui nous sont présentés deux récits de guérison, imbriqués l’un dans l’autre: celui de la fille du chef de la synagogue interrompu par celui d’une femme hémorroïsse qui vient toucher la frange du manteau de Jésus. Tant Jaïre que la femme bénéficiaire de la guérison, tous deux ont un désir ardent d’une intervention salvifique de Notre-Seigneur, Jaïre en faveur de sa fille, la femme pour elle-même. Tous deux vont obtenir l’objet de leur espérance comme réponse à leur acte de foi.
"Ta fille vient de mourir": la pire des nouvelles qu’un père peut recevoir. "Ta maladie est incurable": la tragique réponse qu’un malade peut écouter d’un medecin.
La foi , dans l’évangile de ce jour, a mis à genoux Jaire devant le Seigneur. La même foi a propulsé cette femme qui avait des pertes de sang à toucher Jésus.
C’est grâce à cette foi que la mort et la maladie incurable ont été defiées. La foi a redonné la paix à la famille de Jaire et la santé, après douze longues années de maladies et d’angoisses, à cette femme. Ces deux faits miraculeux attestent que la victoire du Christ sur le mal et la mort est définitive et que nous avons été sauvés et rachetés par sa venue.
Ô Christ, nous voulons t’apporter, nous aussi, nos vies fragiles et blessées, marquées par le péché et les souffrances, accueilles-nous dans ta grande bonté!
Elikya ya ngai Nzambe ezali na ngolu na ngolu ya yo !
Photos: ya Philippe visite les malades
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