Le sens de l’Eglise pour le développement de tout homme et de tout l’homme à évangéliser est de toujours et partout partie prenante de sa mission. Son engagement dans le secteur de l’enseignement, de l’éducation, de la santé…en constitue une preuve. A cet effet, depuis l’époque missionnaire, il existe à Taketa un centre hospitalier diocésain de référence sous contrôle des sœurs européennes. Au départ de ces religieuses, la direction de ce centre a été confiée a à leurs filles autochtones de la Congrégation des sœurs congolaises de l’Immaculée Conception (S.C.I.C.).
Ainsi ce centre hospitalier a-t-il servi pendant longtemps de centre de santé de référence pour les soins médicaux dans cette contrée. En effet, comment s’en douter, son bloc opératoire était le seul lieu indiqué pour les activités chirurgicales dans ce secteur ‘Entre Lokoro et Lukenie’. C’est à vrai à dire, le grand trésor médical du groupement de mbiliankama.
Mais depuis l’évacuation des SCIC en 2008, et par après celle du médecin chirurgien, ce centre connaît à présent, des grandes difficultés pour sa survie. En fait, tous les cas d’accouchement, de chirurgien ou autres sont transférés soit à l’Hôpital général de Bosobe (35 km) soit à l’hôpital général d’Oshwe (plus de 60 km).
Alors, pour un tel centre de santé qui fonctionnait presque en vase clos, c’est-à-dire de ses propres recettes, il est reduit au niveau d’un simple dispensaire, malgré son grand nombre de travailleurs (16). D’où ces travailleurs amassent tous les jours les retards de payement mensuel ; par conséquent la survie même du centre devient hypothétique.
Ainsi, ce petit mot avec cette description non exhaustive, du drame est un veritable cri d’alerte pour sauver ce centre et ce peuple. La santé, dit-on, est priorité des priorités et n’a pas de prix. Aussi ce petit mot est-il une interpellation pour tout pasteur à cette heure de l’évangélisation pour tout homme et tout l’homme.
Abbé Teddy Iyemebwi,
vicaire à la paroisse Assomption/Taketa
Ainsi ce centre hospitalier a-t-il servi pendant longtemps de centre de santé de référence pour les soins médicaux dans cette contrée. En effet, comment s’en douter, son bloc opératoire était le seul lieu indiqué pour les activités chirurgicales dans ce secteur ‘Entre Lokoro et Lukenie’. C’est à vrai à dire, le grand trésor médical du groupement de mbiliankama.
Mais depuis l’évacuation des SCIC en 2008, et par après celle du médecin chirurgien, ce centre connaît à présent, des grandes difficultés pour sa survie. En fait, tous les cas d’accouchement, de chirurgien ou autres sont transférés soit à l’Hôpital général de Bosobe (35 km) soit à l’hôpital général d’Oshwe (plus de 60 km).
Alors, pour un tel centre de santé qui fonctionnait presque en vase clos, c’est-à-dire de ses propres recettes, il est reduit au niveau d’un simple dispensaire, malgré son grand nombre de travailleurs (16). D’où ces travailleurs amassent tous les jours les retards de payement mensuel ; par conséquent la survie même du centre devient hypothétique.
Ainsi, ce petit mot avec cette description non exhaustive, du drame est un veritable cri d’alerte pour sauver ce centre et ce peuple. La santé, dit-on, est priorité des priorités et n’a pas de prix. Aussi ce petit mot est-il une interpellation pour tout pasteur à cette heure de l’évangélisation pour tout homme et tout l’homme.
Abbé Teddy Iyemebwi,
vicaire à la paroisse Assomption/Taketa
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