
Le chapelet est comme une « douce chaîne » qui nous relie à Dieu, disait le pape Jean-Paul en citant le fondateur du sanctuaire de Notre-Dame de Pompéi dont c’est aujourd’hui la fête. Le pape Jean-Paul II a visité ce sanctuaire et encouragé la prière du rosaire, dont le fondateur du sanctuaire a été un apôtre.
Le sanctuaire de Pompéi été fondé par un laïc  italien, le bienheureux Bartolo Longo (1841-1926), que le pape cite à  cinq reprises dans sa Lettre apostolique sur le Rosaire de la Vierge  Marie, du 16 octobre 2002. A une époque de scepticisme et d’anticléricalisme, cet homme de loi  italien devenu tertiaire dominicain, fonda le sanctuaire de Pompéi dédié  à Notre-Dame du Rosaire, mais aussi des œuvres charitables en faveur  d’enfants de détenus, et la communauté des Filles du Saint Rosaire de  Pompéi. Il enseignait le catéchisme et à prier le rosaire. Il est mort à Pompéi le 5 octobre 1926. Il a été béatifié par Jean-Paul II le 26 octobre 1980.
 communauté des Filles du Saint Rosaire de  Pompéi. Il enseignait le catéchisme et à prier le rosaire. Il est mort à Pompéi le 5 octobre 1926. Il a été béatifié par Jean-Paul II le 26 octobre 1980.
 « Le bienheureux Bartolo Longo, écrit-il, eut un charisme spécial,  celui de véritable apôtre du Rosaire. Son chemin de sainteté s’appuie  sur une inspiration entendue au plus profond de son cœur : " Qui propage  le Rosaire est sauvé ! ". À partir de là, il s’est senti appelé à  construire à Pompéi un sanctuaire dédié à la Vierge du Saint Rosaire  près des ruines de l’antique cité tout juste pénétrée par l’annonce  évangélique avant d’être ensevelie en 79 par l’éruption du Vésuve et de  renaître de ses cendres des siècles plus tard… Par son œuvre entière, en  particulier par les " Quinze Samedis " , Bartolo Longo développa l’âme  christologique et contemplative du Rosaire ; il trouva pour cela un  encouragement particulier et un soutien chez Léon XIII, le " Pape du  Rosaire " . « Le bienheureux Bartolo Longo, explique encore Jean-Paul II, voyait  aussi le chapelet comme une "chaîne" qui nous relie à Dieu. Une chaîne,  certes, mais une douce chaîne ; car tel est toujours la relation avec  Dieu qui est Père. Une chaîne "filiale", qui nous accorde à Marie, la  "servante du Seigneur" (Lc 1,38)  et, en définitive, au Christ lui-même qui, tout en étant Dieu, s’est  fait "serviteur" par amour pour nous (Ph 2,7) ».
, Bartolo Longo développa l’âme  christologique et contemplative du Rosaire ; il trouva pour cela un  encouragement particulier et un soutien chez Léon XIII, le " Pape du  Rosaire " . « Le bienheureux Bartolo Longo, explique encore Jean-Paul II, voyait  aussi le chapelet comme une "chaîne" qui nous relie à Dieu. Une chaîne,  certes, mais une douce chaîne ; car tel est toujours la relation avec  Dieu qui est Père. Une chaîne "filiale", qui nous accorde à Marie, la  "servante du Seigneur" (Lc 1,38)  et, en définitive, au Christ lui-même qui, tout en étant Dieu, s’est  fait "serviteur" par amour pour nous (Ph 2,7) ».
 "Ô Rosaire  béni par Marie, douce chaîne qui nous relie à Dieu, lien d’amour qui  nous unit aux Anges, tour de sagesse face aux assauts de l’enfer, havre  de sécurité dans le naufrage commun, nous ne te lâcherons plus. Tu seras  no tre réconfort à l’heure de l’agonie. À toi, le dernier baiser de la  vie qui s’éteint. Et le dernier accent sur nos lèvres sera ton nom  suave, ô Reine du Rosaire de Pompéi, ô notre Mère très chère, ô refuge  des pécheurs, ô souveraine Consolatrice des affligés. Sois bénie en tout  lieu, aujourd’hui et toujours, sur la terre et dans le ciel " (RVM,  43) .
tre réconfort à l’heure de l’agonie. À toi, le dernier baiser de la  vie qui s’éteint. Et le dernier accent sur nos lèvres sera ton nom  suave, ô Reine du Rosaire de Pompéi, ô notre Mère très chère, ô refuge  des pécheurs, ô souveraine Consolatrice des affligés. Sois bénie en tout  lieu, aujourd’hui et toujours, sur la terre et dans le ciel " (RVM,  43) .
 
 
 
 
 
 
 

 
 
 
 
 

 
 
 
 
 
 
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