Les temps sont durs et il faut chercher par tous les moyens comment s'en sortir. A Bokoro, nos novices, pour l'autofinancement du noviciat, s’adonnent à des travaux domestiques. L'économat général leur envoie quelque chose mais c'est insuffisant. Il faut travailler pour nouer les deux bouts du mois.
Raison pour laquelle, on les voit facilement après la messe se rendre aux champs comme toutes les femmes de la zone. Corbeille au dos, elles vont travailler la terre, y plantent des mais, arachides et maniocs. Une partie de la récolte sert au manger tandis que l'autre est vendue. Avec l'argent perçu, on pourvoit aux petits besoins de la communauté.
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