Partis de Kutu Mardi le 8 Novembre vers 8h45, nous sommes arrivés à Oshwe à 16h40 après escale de 15 minutes au beach du petit séminaire de Bokoro. Nous avons donc fait un voyage de plus ou moins huit heures sur un canot poussé par un moteur de 40 CV.
L'abbé curé d'Ohswe, Franco Nekotsheke était au beach accomp
agné du maire de la cité et certains membres du conseil paroissial. Oshwe n'a ni jeep, ni voiture. Pour arriver à la cure, les volontaires nous ont transportés en moto. Le soir, nous nous sommes reposés. Le matin, nous l'avons consacré à la visite à l’hôpital d'Oshwe, visite guidée par le médecin chef de zone, Charles et le médecin directeur, Fiston Botoko, le jeune frère de notre confrère l'abbé Jean-Michel Botoko.
On peut dire en peu de mot que l’hôpital d'Oshwe souffre des maux communs à tous les autres h
opitaux de la zone. A part les efforts fournis par certains organismes privés dont la caritas du diocèse qui a réhabilité un pavillon, on peut dire sans risque d’exagération que la population souffre, à l'image de cet hangar qui fait office de cuisine aux parents des malades à l’hôpital. Cela interpelle.
Le médecin, à la fin de la visite,
nous a remis le desiderata de l’hôpital . Après une reunion de mise en commun tenue au bureau du médecin, nous avions pris congé d'Oshwe vers 11h00; à 16h30 on était à Bokoro.
L'abbé curé d'Ohswe, Franco Nekotsheke était au beach accomp
agné du maire de la cité et certains membres du conseil paroissial. Oshwe n'a ni jeep, ni voiture. Pour arriver à la cure, les volontaires nous ont transportés en moto. Le soir, nous nous sommes reposés. Le matin, nous l'avons consacré à la visite à l’hôpital d'Oshwe, visite guidée par le médecin chef de zone, Charles et le médecin directeur, Fiston Botoko, le jeune frère de notre confrère l'abbé Jean-Michel Botoko.
On peut dire en peu de mot que l’hôpital d'Oshwe souffre des maux communs à tous les autres h
opitaux de la zone. A part les efforts fournis par certains organismes privés dont la caritas du diocèse qui a réhabilité un pavillon, on peut dire sans risque d’exagération que la population souffre, à l'image de cet hangar qui fait office de cuisine aux parents des malades à l’hôpital. Cela interpelle.Le médecin, à la fin de la visite,
nous a remis le desiderata de l’hôpital . Après une reunion de mise en commun tenue au bureau du médecin, nous avions pris congé d'Oshwe vers 11h00; à 16h30 on était à Bokoro.
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