Quand on parcourt le Mai-Ndombe, on est frappé d’une part, par le spectacle d’abondance d’eau, de forêts et de terres arables… et d’autre part, par la pauvreté (misère !) d’une population abandonnée à elle-même ! Cette dernière réalité nous la connaissons tous, et tous nous la déplorons. Mais ni nos plaintes ni nos pleurs, ni même nos dénonciations ne nous amèneront un véritable changement… face à la dimension souffrante de notre histoire. ( Extrait de la lettre de Paques 2011 de Mgr Philippe Nkiere, évêque d'Inongo)
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