De l’époque missionnaire, nous retenons beaucoup d’œuvres de foi :
Beaucoup de baptisés
Une église diocésaine bien structurée
Beaucoup d’œuvres chrétiennes
Un clergé local
Beaucoup d’œuvres caritatives
Beaucoup d’œuvre de développement.
Aujourd’hui, 2 missionnaires de Scheut, 3 frères de Charité de Gand oeuvrent encore dans le diocèse. On constate une émergence de vocation masculine et féminine qui desserve 21 paroisses. De plus, dans certaines paroisses, l’engagement des laïcs est manifeste.
Par ailleurs, la violence orientée aujourd’hui contre l’Eglise par ses propres fidèles, remet en doute la catéchèse reçue en vue des sacrements.
Bokoro, la fille aînée de l’Eglise diocésaine fait la honte et repousse plus d’un. Makaw qui enchantait les prêtres lorsqu’ils allaient chercher les vaches (mumpe adjua lekin le makaw) n’attire plus.
Ces deux postes missionnaires deviennent au diocèse le paradigme de la violence.
L’avenir nous appartient. La résurrection du Christ nous le rassure. Même si on nous combat, ne soyons pas abattu. Il nous revient ecclésiastiques et laïcs engagés même de la diaspora d’exercer une influence positive sur nos frères et sœurs.
L’invitation est lancée à tous ceux qui actionnent de loin ces mécanismes de violence. Le sceptre de violence n’augure aucun développement durable. Vulnérabiliser l’Eglise Catholique, c’est donner un coup fatal au Mai Ndombe (district) car elle en est le poumon.
A l’Eglise elle-même, il faut une catéchèse à l’heure de changement de mentalités et des ecclésiastiques capables de cerner les enjeux en présence afin de baliser un chemin vers la paix.
Abbé Jean Paul Lokutu
Commission Diocésain Justice et Paix/Inongo
Beaucoup de baptisés
Une église diocésaine bien structurée
Beaucoup d’œuvres chrétiennes
Un clergé local
Beaucoup d’œuvres caritatives
Beaucoup d’œuvre de développement.
Aujourd’hui, 2 missionnaires de Scheut, 3 frères de Charité de Gand oeuvrent encore dans le diocèse. On constate une émergence de vocation masculine et féminine qui desserve 21 paroisses. De plus, dans certaines paroisses, l’engagement des laïcs est manifeste.
Par ailleurs, la violence orientée aujourd’hui contre l’Eglise par ses propres fidèles, remet en doute la catéchèse reçue en vue des sacrements.
Bokoro, la fille aînée de l’Eglise diocésaine fait la honte et repousse plus d’un. Makaw qui enchantait les prêtres lorsqu’ils allaient chercher les vaches (mumpe adjua lekin le makaw) n’attire plus.
Ces deux postes missionnaires deviennent au diocèse le paradigme de la violence.
L’avenir nous appartient. La résurrection du Christ nous le rassure. Même si on nous combat, ne soyons pas abattu. Il nous revient ecclésiastiques et laïcs engagés même de la diaspora d’exercer une influence positive sur nos frères et sœurs.
L’invitation est lancée à tous ceux qui actionnent de loin ces mécanismes de violence. Le sceptre de violence n’augure aucun développement durable. Vulnérabiliser l’Eglise Catholique, c’est donner un coup fatal au Mai Ndombe (district) car elle en est le poumon.
A l’Eglise elle-même, il faut une catéchèse à l’heure de changement de mentalités et des ecclésiastiques capables de cerner les enjeux en présence afin de baliser un chemin vers la paix.
Abbé Jean Paul Lokutu
Commission Diocésain Justice et Paix/Inongo
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