LE FOYER CHRÉTIEN
I. Historique
Le FOC est un groupe de la pastorale des foyers. Il fut crée en 1980 sous l’initiative de Mgr Monsengwo avec comme mission de faire la promotion du planning familial par des méthodes naturelles
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II. CIBLE
Tous les couples mariés ou en préparation au mariage à travers tout le diocèse.
Dans toutes les paroisses ‘ le programme est opérationnel. Au niveau de chaque paroisse, il y a le Foc paroissial qui a in encadreur paroissial.
Les paroisses sont groupées en 5 pôles, et chaque pôle a un superviseur.
Tous les superviseurs ainsi que le bureau constituent le bureau technique.
III. ACTIVITES
Les activités du Foc sont sensiblement en baisse.Les rapports d’activités dans les paroisses ne parviennent que de façon irrégulières au bureau diocésain.
Les supervisions ne se font presque plus ?
IV. IV. FINANCES
Le financement du FOC avant le départ de la révérende Sœur Rita venait des dons dont les donateurs ne sont plus connus à ce jour.C’est le résidu laissé au départ des SEJ qui aide au fonctionnement du FOC jusqu’à ce jour.
Quelques entrées réalisées à partir de la location de la baleinière constituent les seules recettes locales.
Les dépenses sont faites conformément aux résolutions de la réunion du comité directeur du Lundi 29/11 au Mercredi 01/12/1999 dont copie en annexe.
V. PATRIMOINE DU FOC
Le Foc a un bureau au couvent des SIC à Bokoro, autrefois couvent des SEJ.
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VI. DIFFICULTES RENCONTREES
v Désintéressement de la part des bénéficiaires suite à la monotonie des thèmes.
v Pas de formation/recyclage pour les membres du bureau, les superviseurs et les encadreurs
v Pas de motivation pour les encadreurs
v Matériel de travail insuffisant
v Pas d’outil informatique
v Non implication des zones de santé dans l’action Foc
v Pas de contact avec l’extérieur
HOPITAL DE BOKORO
I. HISTORIQUE
L’hôpital général de Bokoro a commencé vers 1950 par un petit dispensaire
Après l’indépendance, avec un financement de fonds du bien être indigène (FBI), il fut agrandi et devint hôpital.
Depuis sa création, l’HGR Bokoro fut confié à la gestion des SEJ. Au départ de celles-ci en Avril 2002, la gestion fut rétrocédée au diocèse.
Avant 1980, tous les médecins qui avaient travaillé à l’hôpital de Bokoro furent des expatriés. Le premier médecin congolais est venu à Bokoro vers 1980.
L’HGR Bokoro a une capacité de 180 lits et travaille à ce jour sans partenaire.
L’HGR Bokoro couvre une population estimée à 56536 hab. avec beaucoup des personnes qui viennent en dehors de son spectre d’action.
II. ORGANES DE GESTION
Les organes de gestion de l’HGR Bokoro sont :
Le conseil d’administration
Le conseil de gestion
Le comité Directeur
Les réunions techniques
III. SERVICES ORGANISES
L’HGR-BOKORO organise les services suivants
Gynéco-obstétrique
Médecine interne§chirurgie : femme
Médecine interne§chirurgie : homme
Pédiatrie
Radiologie
Laboratoire
Ophtalmologie
Salle d’opération
Pharmacie
Mouvement et statistique
En plus de ces services traditionnels, l’HGR organise, avec l’appui de l’association Lisanga :
Le centre d réhabilitation nutritionnelle
La prise en charge des diabétiques
La prise en charge des méningés
La prise en charge des indigents
IV.1. GESTION DU PERSONNEL
IV. GESTION
L’HGR compte 59 agents dot la liste en annexe.
Il y a des agents sous statuts ainsi que des agents sous contrat. La procédure d’engagement est amorcé quand la réunion technique en exprime le besoin. Le COGE organise le test d’embauche et soumet les lauréats à une période probatoire de 3 mois après quoi le COGE prend décision d’engagement puis le CA notifie l’agent.
Le personnel sous statut est régi par le statut des agents de carrière alors que les agents sous contrat sont régis conformément au code de travail.
L’HGR Bokoro a un ROI mais pas un cadre organique.
Le calendrier de congé est en place et respecté
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IV.2. GESTION DU MATERIEL
1. Les immobiliers
L’HGR Bokoro a quelques bâtiments.
Dans l’enceinte de l’hôpital :
v Le bâtiment technique
v Le pavillon administratif
v 2 bâtiments pour chambre privées
v 1 bâtiment dit isolement (mais qui demande une réhabilitation)
v 3 pavillons d’hospitalisation : MIF ; MIH ; Pédiatrie
v 1 pavillon maternité
v 1 chapelle non achevée
v 1 bâtiment pour les femmes à risques
v 4 paillotes
v 1 maison de passage
v 1 bâtiment comprenant les dépôts, garage, etc.
v Pour les bâtiments de l’ITM : il n’y a pas d’information sûre.
v
En dehors de l’enceinte
v Hôtel dit Mbianshu
v Maison jumelée
v Les trois maisons suivantes :
v BCZ : ancien lazaret :
v Résidence MCZ :
v Résidence MDH :
v Résidence MT : 2. Matériel roulant et groupes électrogènes
v 3 grands groupes électrogènes dont 2 en panne.
v 1 petit groupe électrogène en panne.
v 1 épave Jeep 4X4
v 1 épave camion robur
v 2 épaves moteurs hors bord : 15 CV et 40 CV
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IV.3. Gestions des médicaments
v Le dépôt pharmaceutique a une bonne quantité des m médicaments mais dont malheureusement la valeur n’est pas connue
HOPITAL DE MAKAW
I. Historique.cfr Document.
L’hôpital de Makaw est un hôpital qui est situé à 120 Km de Bokoro, et qui couvre la population de la cité de Makaw estimée à 8563 hab.
Il a une capacité de 80 lits.
II. SERVICES ORGANISES
v Chirurgie
v Médecine interne
v Pédiatrie
v Gynéco obstétrique
v Laboratoire
v Pharmacie
v Imagerie médicale (échographie et Radiographie) non opérationnelle
III. ORGANES DE GESTION
v CA
v COGEST non fonctionnel
v CODI
IV. GESTION
IV.1. Gestion du personnel
v L’hôpital de Makaw a 28 agents dont une partie sous statut et l’autre sous contrat.
v L’hôpital n’a pas un médecin permanent.
v La gestion du personnel pose de problème par manque d’outil dd gestion.
v
IV.2. Gestion des ressources Matérielles
1. Immobiliers
v 1 bâtiment administratif + maternité
v 1 bâtiment pur labo, consultation, pharmacie
v 1 pavillon de pédiatrie
v 1 pavillon de chirurgie
v 1 bloc opératoire
v 1 pavillon avec trois chambres privées
v 1 pavillon avec deux chambres privées +salle de garde
v 1 pavillon de médecine interne
v 1 bâtiment de radiologie
v 1maison d’habitation pour assistant médical
v 2 bâtiments pour infirmiers
v 1 château d’eau non fonctionnel
3. Outil informatique § Machine à écrire
2. Matériel roulant + groupe électrogène
v
2. Matériel roulant + groupe électrogène
v 1 groupe électrogène
v 2 vélos
v 2 moteurs hors bord en panne
3. Outil informatique § Machine à écrire
v 1 machine à écrire
Matériel médical Cfr inventaire
V. DIFFICULTES
v Absence d’un médecin
v Pas de moyen de transport, ce qui entraîne parfois des ruptures de stock.
v L’échographie et la radio ne sont pas fonctionnelles
v Absence d’un partenaire
v Lits et les mousses sont usées.
v Pas de dépôt pour stocker les lubrifiants.
v Faible rémunération, et les agents sous statuts ne sont pas payés.
v Pas de contact véritable entre les services sanitaires et la communauté.
v Prix exorbitant des médicaments et des services
v Prescription des médicaments parfois périmés
v Le manque d’éclairage à l’hôpital
CSR TAKETA
I.PRESENTATION
v Le centre de TAketa couvre une population de 24391 habitants avec une capacité de 43 lits.
Les activités planifiées sont :
v Soins curatifs
v CPN
v CPS
v PEV
v Maternité
v Laboratoire
v Pharmacie
v CRN
II. GESTION
II.1. GESTION DU PERSONNEL
Le CSR emploie 22 agents dont une partie sous statut et une autre sous contrat. Le CSR a le code de travail + un ROI mais manque le statut du personnel de carrière
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II.2. GESTION DU MATERIEL
1. Immobilier
v 1 bâtiment administratif
v 1 bâtiment de maternité
v 2 pavillons d’hospitalisation
v 1 paillote (cuisine)
v 6 maisons pour infirmiers (camp infirmier)
v Il faut noter que mêle bâtiment administratif et les deux pavillons d’hospitalisation sont dans un état de délabrement, et demandent une réhabilitation.
2. Matériel roulant + groupes électrogènes
v 1 moto Yamaha DT 125
v 1 moteur hors bord + coque
v 1générateur Yamaha 950
v 1 frigo (en panne)
v
Outils
Informatique + Machine à écrire
1 machine à écrire (+usée)
Inventaire de matériel (rythme mensuel)
II.3.GESTION DES MEDICAMENTS
v Le Dépôt pharmaceutique a beaucoup des médicaments, mais on note la rupture de stock de certains médicaments indispensables, et le surstockage de certains autres.
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II.4. FINANCIERE
v v Le centre souffre d’un manque de subvention
III. DIFFICULTEES RENCONTREES
v Pas d’eau courante au centre
v Le matériel de travail est usé et insuffisant
v Les mousses et les lits sont usés et n nombre insuffisant
v Insuffisance de linge en S.O. et à la maternité
v Manque d’un véhicule
v Le lit opératoire est usé et il n’y a pas de lampe scialytique
v Les agents sous statut ne sont pas payés
v Pas d’électricité ni un système d’éclairage approprié
v Pas de formation continue
C.S. OSHWE
I. Présentation
v Le CS d’Oshwe couvre 8450 habitants et est encore à ses débuts.
v Il a commencé dans un petit bâtiment en location. Actuellement, le bâtiment propre du centre est fin travaux et sera inauguré sous peu.
v Le centre utilise 4 agents et n’a pas de médecin.
v Le centre avait une capacité deb 4 lits et passera à 20 lits. Le dépôt du centre est assez fourni mais la CMM n’est pas calculée.
IIème PARTIE ANALYSE DE LA SITUATION
I. POINTS FORTS
v Présence des signes opérationnels
v Disponibilité des soins de santé primaires
v Intégration des structures dans les zones de santé respectives
v Structures sont proches de la population
v Application du système national d’information sanitaire (SNIS)
v Salaires et avantages sociaux des agents assurés.
v Existence de quelques mutuelles de santé
v Rapports financiers faits semestriellement
v Présence de budget annuel
v Le souci d’offrir un travail de qualité aux bénéficiaires
v Présence dans chaque structure d’un petit dépôt pharmaceutique
v Disponibilité des médicaments dans chaque structure
v Présence de centre de réhabilitation nutritionnelle dans presque toutes les structures.
II. POINTS FAIBLES
v Pas une coordination d’activité au bureau du BDOM
v Pas une définition de rôle à jouer pour chaque responsable
v Trop de responsables pour des fonctions peu précises
v Pas un bureau pour la coordination
v Pas un budget alloué au fonctionnement de la coordination
v Absence d’un plan stratégique ainsi que le plan opérationnel et pour la coordination et pour les structures
v Absence d’un dépôt pharmaceutique diocésain
v L’équipement usé dans la plupart des structures
v Multiples ruptures de stock des médicaments traceurs
v L’existence de certains matériels dans les structures mais pas d’utilisateurs
v Absence de supervision, évaluation et audits dans les structures
v Les structures du BDOM sont plus focalisées dans un seul pool
v Le système de gestion reste rudimentaire
v Absence des procédures dans le circuit financier
v Plusieurs centres d’ordonnancement et de commandement parfois divergents mettant souvent l’exécutant devant un embarras.
v Les affectations des agents à différents niveaux sans tenir compte du besoin réel des structures
v Absence des outils de gestion appropriés et des textes légaux
v Manque de formation continue en cours d’emploi
v Faible implication de la communauté dans la gestion des structures
v Manque d’exploitation complète information sanitaire
v Non implication du Médecin Directeur de l’hôpital Général de Bokoro dans le SNIS
v Absence des partenaires d’appui
v Pas de chiffre ou pourcentage de couverture des programmes (planning familial, réhabilitation nutritionnelle).
v Monotonie des thèmes dans les exposés de FOC, d’où désintéressement des bénéficiaires
v Pas d’outil informatique à tous les niveaux
Dr Pascal NGARA
Directeur du BDOM
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