Nos enfants à l'école sont assis à même le sol par manque des bancs. La nuit parfois, les salles des classes deviennent des "dortoirs" pour des chèvres et des moutons par manque des portes. Enterré son parent décédé devient un sérieux problème: il est difficile trouver des bois pour fabriquer le cercueil.
Dans l'entre temps, nos bois sont expatriés chaque jour au vu et au su de tous. Quand la population réclame ses droits, elle est opprimée. Comment voulez-vous que dans une ville comme Nioki, nos élèves aient des problèmes des bancs alors que dans cette même cité, une grande société exploite et scie nos bois pour l’exportation?
Des beaux discours ne suffisent pas.
Notre peuple souffre et vit dans la misère.
Dans l'entre temps, nos bois sont expatriés chaque jour au vu et au su de tous. Quand la population réclame ses droits, elle est opprimée. Comment voulez-vous que dans une ville comme Nioki, nos élèves aient des problèmes des bancs alors que dans cette même cité, une grande société exploite et scie nos bois pour l’exportation?
Noter commission diocésaine Justice et Paix a étudié ce dossier par l'abbé responsable, Jean-Paul Lokutu. Malheureusement, on ne peut pas aller plus loin que cela.
Qu'est ce que l'on gagne en faisant et en voyant ses frères et sœurs souffrir!
Qu'est ce que l'on gagne en faisant et en voyant ses frères et sœurs souffrir!
Des beaux discours ne suffisent pas.
Notre peuple souffre et vit dans la misère.
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