La population de Bokoro - surtout les élèves - peut se réjouir: il y a deux jours, les élèves de l'institut de Bokoro ont déchargé, au beach du petit séminaire de Bokoro, le moulin pour moudre le fufu obtenu pour Bokoro.
La population de Bokoro croit de jour au jour et cela surtout au nombre d'élèves qui fréquente les écoles de cette cité. Le lycée Salongo a 720 élèves, le petit séminaire 127, l'Institut de Bokoro 174, l'institut Totombwana 210, sans compter les élèves de l'ITM et les étudiants de l'Istm.
A Sangasanga, en trois ans, le nombre de résidents a triplé, fait du aussi à certaines situations de fait qui ont attiré pas mal de gens vers cette cité.
Cette augmentation de la population a créé une pénurie de chikwangues dans cette zone. Les élèves internes sont les premiers a en payer les frais. Les directeurs d'internats ont pris alors l'habitude d'envoyer les élèves dans les villages environnants (Nsila, Mazoko, Nsekesiri, Monsijon, Motangiri., Kempimpi.. et jusqu'à 50km) pour s'approvisionner en chikwangue. Puis quand on avait un peu de manioc, il fallait le piller dans un mortier. A Bokoro, il n 'y a aucun moulin pour moudre le fufu ou décortiquer le riz. Cette situation méritait une solution surtout pour les nombreux élèves internes.
Un financement a été obtenu à cette fin et un moulin a été acheté à Kinshasa pour permettre aux écoles et à la population de moudre leur fufu. Cela facilitera les choses étant donné que chaque élève, à la rentrée scolaire, amène avec lui un sac de fufu. Ce moulin, qui est installé là ou était l'atelier des planches de la paroisse Ste Croix, sera géré par les abbés .
Avec le moulin, étaient aussi déchargés: un poste à souder et un chargeur des batteries pour permettre aux abbés d'aider la population et d'avoir un petit rien qui les aidera dans les moments difficiles. On a aussi pensé au mazout ( 6 futs) pour initier à moudre le fufu, 45 tôles pour réparer la toiture de la salle qui va abriter le moulin et 30 sacs de ciment pour le pavement et le socle. Cette initiative est partie de Rome.
L'abbé chancelier avait tenté mais en vain de nous envoyer les photos illustratives quand il était à Bokoro mais la connexion a été lente. Il a fait plus d'une heure sans réussir à faire attacher la pièce jointe ( de 4 photo) au message! Puis, on a éteint le groupe électrogène .... Nous vous montrerons les photo quand nous les aurons.
Photo:
1. les filles du lycée ...elles sont plus de 720..
2. Le mini projet compte aussi apaiser le travail des femmes
3. Une vue du bâtiment scolaire de l'institut de Bokoro ( humanités littéraires)
4. le riz ou le manioc se pille encore à la main dans un mortier
5. A cause de la pénurie de chikwangue à Bokoro, les vendeurs voyagent par pirogues pour couler leurs produits ( chikwangues) à Bokoro.
La population de Bokoro croit de jour au jour et cela surtout au nombre d'élèves qui fréquente les écoles de cette cité. Le lycée Salongo a 720 élèves, le petit séminaire 127, l'Institut de Bokoro 174, l'institut Totombwana 210, sans compter les élèves de l'ITM et les étudiants de l'Istm.
A Sangasanga, en trois ans, le nombre de résidents a triplé, fait du aussi à certaines situations de fait qui ont attiré pas mal de gens vers cette cité.
Cette augmentation de la population a créé une pénurie de chikwangues dans cette zone. Les élèves internes sont les premiers a en payer les frais. Les directeurs d'internats ont pris alors l'habitude d'envoyer les élèves dans les villages environnants (Nsila, Mazoko, Nsekesiri, Monsijon, Motangiri., Kempimpi.. et jusqu'à 50km) pour s'approvisionner en chikwangue. Puis quand on avait un peu de manioc, il fallait le piller dans un mortier. A Bokoro, il n 'y a aucun moulin pour moudre le fufu ou décortiquer le riz. Cette situation méritait une solution surtout pour les nombreux élèves internes.
Un financement a été obtenu à cette fin et un moulin a été acheté à Kinshasa pour permettre aux écoles et à la population de moudre leur fufu. Cela facilitera les choses étant donné que chaque élève, à la rentrée scolaire, amène avec lui un sac de fufu. Ce moulin, qui est installé là ou était l'atelier des planches de la paroisse Ste Croix, sera géré par les abbés .
Avec le moulin, étaient aussi déchargés: un poste à souder et un chargeur des batteries pour permettre aux abbés d'aider la population et d'avoir un petit rien qui les aidera dans les moments difficiles. On a aussi pensé au mazout ( 6 futs) pour initier à moudre le fufu, 45 tôles pour réparer la toiture de la salle qui va abriter le moulin et 30 sacs de ciment pour le pavement et le socle. Cette initiative est partie de Rome.
L'abbé chancelier avait tenté mais en vain de nous envoyer les photos illustratives quand il était à Bokoro mais la connexion a été lente. Il a fait plus d'une heure sans réussir à faire attacher la pièce jointe ( de 4 photo) au message! Puis, on a éteint le groupe électrogène .... Nous vous montrerons les photo quand nous les aurons.
Photo:
1. les filles du lycée ...elles sont plus de 720..
2. Le mini projet compte aussi apaiser le travail des femmes
3. Une vue du bâtiment scolaire de l'institut de Bokoro ( humanités littéraires)
4. le riz ou le manioc se pille encore à la main dans un mortier
5. A cause de la pénurie de chikwangue à Bokoro, les vendeurs voyagent par pirogues pour couler leurs produits ( chikwangues) à Bokoro.
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