Sœurs accoucheuse, infirmière, comptable... religieuse administratrice gestionnaire de l'hôpital. O Tempora, o mores!
Travail manuel, cuisine, champs, même une religieuse qui a fait la mécanique.... Les postulantes qui entrent avec beaucoup d'enthousiasmes...
O tempora o mores!
O tempora o mores!
Les temps ont changé. Ce n'est plus l'époque où l'on croisait les bras pour tout attendre des autres. L'expérience a appris qu'il faut savoir se débrouiller dans la vie et ne pas compter en tout et pour tout sur les dons ou l'aide des autres.
Nos religieuses diocésaines l'ont compris. Elles essayent ici et là d'étudier des voies et moyens pour se tirer d'affaire: elles travaillent dans les écoles, dans les hopitaux, dans les organismes ou associations... Certaines communautés ont des champs de manioc, de mais ou de riz.
Chaque communauté a une "industria propria": avec ce que l'économat général leur donne, elles essayent d'investir pour avoir quelque chose de plus.
Les circonstances de temps ont enseigné que "qui compte toujours sur l'autre dormira un jour affamé" comme le dit un proverbe de notre contrée.
De quoi dire comme le moine Bénoit: Ora et labora. Prie et travaille. Sambela mpe sala mosala.
3ère photo: La mère Agnès Boduka , maitresse des postulantes, avec les postulantes à Bokoro.
Dernière photo: la sœur Henriette, mécanicienne, en plein travail avec le frère Paul
Nos religieuses diocésaines l'ont compris. Elles essayent ici et là d'étudier des voies et moyens pour se tirer d'affaire: elles travaillent dans les écoles, dans les hopitaux, dans les organismes ou associations... Certaines communautés ont des champs de manioc, de mais ou de riz.
Chaque communauté a une "industria propria": avec ce que l'économat général leur donne, elles essayent d'investir pour avoir quelque chose de plus.
Les circonstances de temps ont enseigné que "qui compte toujours sur l'autre dormira un jour affamé" comme le dit un proverbe de notre contrée.
De quoi dire comme le moine Bénoit: Ora et labora. Prie et travaille. Sambela mpe sala mosala.
3ère photo: La mère Agnès Boduka , maitresse des postulantes, avec les postulantes à Bokoro.
Dernière photo: la sœur Henriette, mécanicienne, en plein travail avec le frère Paul
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