Ils ont pris conscience de l'état de délabrement de certains de ses bâtiments construits avant l'indépendance et qui n'ont plus été entretenus... nos petits séminaristes aujourd’hui ne bénéficient plus des mêmes conditions de vie et d'études que leurs ainés.
Là, il fallait un sursaut d'orgueil et faire quelque chose. Nous sommes ce que nous sommes aujourd’hui grâce aussi à ce petit séminaire.
Oui, on pouvait passer par des projets à introduire auprès des organismes ou solliciter des dons des bienfaiteurs mais là, les anciens séminaristes de Bokoro ont dit: que chacun donne ce qu'il peut, l'union fait la force.
Jean-Claude Kiringa et Fede Wandey ont pris l'initiative de coordonner les choses. Ils ont sensibilisé tous. En effet, ils sont très nombreux ceux qui sont passés par le petit séminaire de Bokoro.
Un premier cap vient d’être franchi: on a atteint, avec les cotisations, le montant voulu pour la réfection du réfectoire des petits séminaristes (10.000 $, nous disons dix mil dollars américains).
Les cotisations continuent car il nous faut trouver l'argent nécessaire pour la réfection des dortoirs ( 3), du bâtiment scolaire, de la chapelle, de la cuisine et du bâtiment des abbés professeurs.
Tous sont décidés et veulent que ces travaux soient faits. Selon les estimations et le devis présenté, si chacun des anciens donnait 800 $, tous les travaux seront faits.
Qu'il nous soit permis de remercier tous et surtout ceux qui ont contribué, chacun selon ses moyens, à la réalisation du premier objectif. Un mot spécial va à ceux qui ont donné un grand coup de pousse pour accélérer ce processus. Nous pensons à mr Robert Umba (à Kinshasa), à Jean-Lokenga (Bénin) et Florent Booto (Kinshasa).
Ceux de Kinshasa versent leurs cotisations chez l’abbé Donat Nshole ; les autres peuvent contacter soit Fede Wandey (fwandey@gmail.com) soit Jean-Claude Kiringa (kiringa@siteuottawa.ca).
Félicitation. Allons, enfants de St Aloisus... nous honorerons notre petit séminaire de Bokoro, nous le rendrons plus beau et nous donnerons à nos cadets les mêmes chances que nous avions eues.
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