vendredi 27 février 2009

Ndzur Bakim. enfin publié

Pour la pemière fois, après plusieurs tentatives infructueuses, voici publié le fameux Ndzur Bakim, j'ai interrogé les vieux, de Bompere de Malibi. A vous de mettre vos mains dans les poches (Otoi ila y'okaw)... et evitez à ce que j'évoque le proverbe "Okaw y'okien, nke olepa nga uja mpa ipe...".
http://stores.lulu.com/noro
Puis, vous pourrez commander aussi :
1. Deux CDs de Moyenne et Mokia Nkoto (les fonds seront envoyés aux intéressés)
2. Un DVD Cinquantenaire Petit Séminaire de Bokoro
3. Un Cd d'interview avec Maji, le griot des Basakata (intéressant pour l'appretissage du Kisakata).

Et ne pas oubliez aussi de commander l'exemplaire de mon dernier ouvrage
http://www.lulu.com/browse/preview.php?fCID=5154233
http://www.congovision.com/livres_mputu7.html

Norbert MBU-MPUTU
NB. Vous pourrez effectuez vos commandes directement en nous envoyant votre adresse postale.
A très bientôt.
Nous publierons avant la fin d'année : Proverbes Sakata pour tout usage.

jeudi 26 février 2009

QUELLE EST NOTRE IDENTITE ?

PRETRES AU SERVICE DE LA VIE POUR L’AVENEMENT DU ROYAUME DES CIEUX (JN 10,10)
(Contribution de la communauté de l'évêché à l'assemblée)


Nous pouvons de prime abord affirmer que notre peuple vit aujourd’hui l’exil comme Le peuple hébreu à Babylone étranger sur une terre étrangère. Israël était sans référence. En perdant le temple, la terre, la royauté, Israël a perdu son identité et sa mission.

Israël devait chercher son identité, sa mission. Cette identité qui n’était plus à chercher dans le fait d’être un peuple choisi, privilégié, mais dans cette situation de souffrance et de crise. Désormais la vocation d’Israël est de servir l’humanité (Is. 42). Il n’est plus un peuple à part, privilégié qui doit montrer aux autres sa supériorité. Dieu n’était plus présent d’une façon manifeste. Sa présence se manifeste dans une brise légère (Cfr Elie).


Aujourd’hui aussi, nous traversons une crise à tous les niveaux, un peu comme le peuple d’Israël. Il est donc urgent que nous nous posions la question de notre identité : quelle est notre identité ? Quelle est notre mission. ? Quelle est notre identité aujourd’hui dans cette réalité de misère économique, politique, morale et religieuse ?

Comme l’expérience d’Israël en exil, nous ne chercherons pas notre identité en nous croyant au dessus des autres. Mais ce que nous avons reçu doit nous aider à entrer dans ce peuple et d’en bas pour le faire surgir, le faire vivre. Si Dieu a permis que Moise soit sauvé des eaux et reçoive une bonne éducation dans le palais de pharaon (Ex. 2,5-10), c’est pour ensuite le renvoyer vers son peuple. Qu’il se sente solidaire et membre de ce peuple qui souffre.

Nous, prêtres, avons aussi été mis à part, appelés par le Christ qui est présent et au cœur de ce système fratricide. C’est lui qui nous appelle à le rejoindre, à être avec Lui. « Il appela à lui ceux qu’il voulut et ils allèrent le rejoindre. C’est ainsi qu’il créa les « Douze » (qu’il nomma aussi apôtres) pour être avec lui ; il voulait les envoyer prêcher ». (Mc 3, 13-14). Être avec lui, c’est établir une relation personnelle avec Lui. Une relation qui doit nous attacher à Lui qui nous appelle à entrer dans sa mission, à devenir serviteur comme lui.

On ne peut être serviteur sans lui, sans se référer à Lui. Cette relation d’amitié avec le Christ nous évitera de considérer notre service comme un pur fonctionnalisme. A partir de lui, nous aurons un regard différent. Si notre relation avec le Christ est faussée, alors notre relation avec les autres, avec le peuple en pâtira. Et c’est le peuple qui est au centre de notre ministère, c’est pour lui que nous devenons serviteurs, serviteurs à l’image du Christ.

Et nous ne saurons devenir membres de ce peuple qui souffre, devenir son frère sans nous référer au Christ et le prendre comme modèle.

Ainsi, imitant le Christ, nous devons nous sentir membres du peuple et savoir l’accueillir avec beaucoup de tendresse, l’aimer, l’accepter dans ses limites, ses faiblesses et ses péchés pour l’aider à s’en sortir, à devenir libre.
C’est cela notre responsabilité première : aimer ce peuple tel qu’il est. Car, si nous le regardons du dehors et nous nous sentons étrangers et considérons ce peuple comme étranger, nous ne le sauverons pas. Encore moins si nous le méprisons et ne le voyons que sous l’angle de ses incapacités et de ses manques.

Il nous faut reconstruire, refaire nos relations avec le peuple, avec nous-mêmes, avec les autres. Cela implique un nouveau style de vie. Vivre autrement, et sortir d’un système fratricide pour évangéliser véritablement à travers un amour qui fait vivre l’autre.

C’est nous qui devons d’abord nous renouveler pour être au service de la vie, au service du peuple de Dieu, au service du Royaume qui se construit dans l’amour. Et nous sommes serviteurs, ce qui veut dire que nous ne sommes pas au centre, c’est le peuple qui est au centre de notre sollicitude. Et le Seigneur nous évangélise tous. C’est dans la mesure où je suis refait par l’amour du Seigneur que je peux mieux servir les autres dans l’amour. Nous ne sommes que « les serviteurs inutiles »
.
Et nous devons chercher les stratégies pour être intégrés dans notre peuple. Éviter le piège du cléricalisme qui nous guette. Cette intégration appelle l’inculturation.
P.ex. notre peuple a une culture de solidarité. Il suffit de voir la solidarité qui se manifeste durant le deuil pour s’en convaincre. On devient un pendant le deuil, on met de côté les conflits.
Et notre peuple aime la vie. Mais il faut des leaders pour faire surgir cette vie et faire comprendre ce qu’est cette vie, la vraie vie. Une formation est donc nécessaire. Une formation d’abord pour nous-mêmes.

Quelle forme devons- nous prendre pour être plus proches des autres. Que devons nous faire pour augmenter la vie ?

C’est donc la remise en question de nous-mêmes quant à notre identité et à la mission reçue.

mercredi 25 février 2009

Prière pour le Carême

Carême : un chemin de quarante jours, une suivance de quarante pas
 
Un pas chaque jour!
Un pas d'Evangile, bien posé, lentement et avec foi
Un pas de confiance  qui, chaque jour un peu plus,
Transforme le coeur, l'esprit le corps
Accompagné de Jésus Christ
 
Seigneur, voici donc ce temps de marche,
Cette avancée, ce grandissement de chaque jour en Jésus Christ
Alors, comme le pain pour la route, le bâton pour accompagner le pas,
Donne nous de puiser dans ta parole d'Evangile,
Cette Parole où passe l'Esprit de Dieu. Une parole pour insuffler un air nouveau
Une Parole souflant sur notre vie pour nous remettre en marche.
Amen
     ( Evelyne Schaller )

Mgr à Kinshasa

Mgr l'Evêque a voyagé aujourd'hui pour Kinshasa. Il est accompagné de Mgr Bolengo Jean, vicaire général, avec qui il va participer à l'Assemblée des Evêques de la Province de Kinshasa. L'abbé Jean Marie Ntesa, directeur de la Caritas diocésaine a aussi effectué le voyage pour kin.

Le temps de Careme: temps de réconcilation avec Dieu et les hommes nos frères


KAREZIMO: ELEKO YA BONDEKO
Prenons le temps de nous demander comment nous allons vivre ce temps.
L'Église nous propose le jeûne, la prière et l'aumône.
Elle nous propose plus de prière personnelle, en famille, en communauté chrétienne, et elle nous propose le partage avec les plus pauvres et l'engagement pour un monde plus juste.
Elle nous propose encore le sacrement de la Réconciliation et la participation plus assidue à la prière de l'Église.
Prenons le temps de nous préciser les moyens que nous retenons pour faire de ce temps de carême un temps où nous remettons au centre de votre vie l'amitié avec Dieu et le souci des frères, un temps de libération de tout ce qui nous enferme sur nous-mêmes, un temps de salut, un temps d'humanisation et de confiance.

C'est cet amour que l'Église remet devant nos yeux en nous tournant vers le mystère pascal, celui où se manifeste à quel point Dieu est amour, à quel point il aime les hommes.
Faisons la paix avec Dieu, avec les hommes nos frères et avec la nature.

Pardonnons-nous les uns les autres comme le Père nous a pardonnés dans le Christ.

Fervent temps de carême à tous!

Eleko elamo ya Karezimo na bino banso!





mardi 24 février 2009

QUEL TYPE DE PASTORALE POUR NOTRE EGLISE

La crise que traverse notre pays est sans conteste une crise morale que financière. Elle ronge toutes les castes de notre société, même l'Eglise, entreprise du Christ.


A causes de tout cela nos églises surtout Catholiques sont restées des éternels enfants à l'endroit de celles occidentales. Elles vivent dans une dépendance telle que le détachement leur est difficile.


Quelle en serait la cause directe ? Y' a- t- il manque d'esprit de conception des techniques pour un cheminement vers le développement radical et intégral ? Où se trouve l'artère de dégagement pour nos Diocèse ?


C'est ici où nous investirons une somme de pensée afin de donner quelques pistes pouvant nous sortir de la crise dont nos églises locales souffrent. Et ainsi devons nous savoir en tant que futures pasteurs de toutes ces églises, le prototype pastoral devons nous opter à l'endroit d'une population pauvre, vivant dans des églises pauvres ; et aussi quel type de réalité devons nous rencontrer afin d'éviter si pas de près mais de loin cette crise rongeant toutes les castes du pays et remédier à la maladie qui fait de nous éternels enfants.



LA CLE DE LA REUSSITE DANS LE PROCESSUS DU DEVELOPPEMENT DE NOS DIOCESES



Nous n'allons pas donner un répertoire de solution mais notre suggestion à ce sujet.


Ici, il faudra sans doute développer dans l'esprit d'un chacun des membres du Diocèse, le sens du bien commun et de la conservation des biens acquis. Il doit être inculqué dans l'existence même de notre être, un souci de la bonne surveillance des biens reçus des Missionnaires et ceux que nous avons pu acquérir par nos propres efforts.


Car, la moindre négligence peut entraîner une chute économique à laquelle on ne s'entendait pas. A titre explicatif des biens immobiliers, demandant un entretien rigoureux et sérieux pour la bonne protection ; les biens fonciers et les infrastructures etc.


C'est ici où nous devons plus faire fonctionner toute notre énergie afin ne rien perdre pour éviter les grosses solutions faute d'échelle de valeur, et manque d'attention.


Souvent on laisse crouler les bâtiments et puis dans l'avenir, on est encore dans le manque et on cherche maintenant à trouver des solutions qui demandent des gros efforts. Là, il faudra veiller à tout prix à ne pas surtout être appelé acquéreur, le simple nom d'héritier suffit à chacun.


La souplesse missionnaire a fait en sorte que les églises occupent des grosses étendues ; tout cela c'est pour prévoir l'avenir. Mais dans tout ceci, une reconnaissance officielle ne leur était pas souvent donnée afin de justifier les étendues occupées par nos Diocèses. Il arrive que nos Diocèses acceptent de perdre des grosses étendues tout simplement par distraction et négligence. Que coûterait la moindre somme à payer au titre immobilier et cadastre que la perte d'un terrain de plus de 100 mètres à gagner ?


Voilà encore un esprit qui doit être inculqué dans la mémoire d'un chacun.


Au-delà de l'entretien des biens acquis des missionnaires, l'entreprise d'un commerce serait aussi une arme de marque pour la lutte contre la crise. Mais, comme nous le fait savoir l'A. Mpimpa dans son livre, Viabilité financière d'une église locale en Afrique, souvent quand on parle du commerce en Afrique on pense inévitablement aux bénéfices, et aux gains. Le diocèse en tant qu'en entreprise du christ doit chercher des voies plus honnêtes pour fructifier son propre avoir afin de subvenir à ses propres besoins.


Voici, en quelques mots les suggestions proposées pour un commerce fructifiant mais pouvant toutefois être une voie d'accès au mieux- être de nos Diocèses ; il s'agit donc :


d'une cantine au sein de chaque paroisse, une librairie avec des livres élémentaires pour la spiritualité d'un chrétien, vente des objets liturgiques etc.


Installation d'un atelier de scierie, d'affûtage, de la menuiserie, de la soudure, de la charge des batteries et les téléphones au cas où on est dans un milieu resique ; et d'autres encore selon les besoins de la population. Voilà, les activités parfois rentables mais négligées par nos diocèses.


Des moyens de transport tels que les moteurs bords, les camions et toutes sortes de moyens assurant à la population le déplacement.


Au-delà du commerce avec tout ce qui est précité, on peut toutefois, au sein de chaque paroisse se procurer un élevage de petits bétails qui supplée à la survie des Abbés, en pensant toujours à un élevage des gros bétails comme moyen d'économiser l'argent qui sera peut être utilisé en temps de crise. Étant reproductifs, tous ces bétails peuvent constituer une stabilité économique du Diocèse.


Ainsi, se faire un champ ne serait pas une mauvaise chose pour sortir de la crise économique dont nos Églises sont victimes. Car, à lire l'histoire, l'agriculture est une activité fondamentale de la civilisation humaine. Elle développe tant soit peu le milieu de vie. Grâce à elle que beaucoup de civilisations sont sorties de leur misère. Il est donc évident que nos Diocèses s'y prennent goût.


Il serait aussi bon que nos Diocèses pensent à ce monde cybernétiquement occupé, en souhaitant avoir ne fut ce que une bureautique.


Hormis tout ce qui peut matériellement remédier aux problèmes économiques


de nos Diocèses, il faut aussi penser à un développement mental : de conscience.


Il faut pour cela, un éveil de conscience systématique surtout dans la gestion du bien commun et aussi du travail bien fait. Car, nos Diocèses souffrent d'un problème de transparence dans la manière de gérer le Bien commun. Et cela provoque parfois des affrontements graves au sein du Diocèse.


A cet effet, fonctionner par simple confiance est contraire aux exigences de la gestion. Il faut pour ce, un conseil des affaires économiques.


Et surtout l'absence de tout contrôle occasionne beaucoup de dégâts et favorise l'hémorragie économique.


La paie régulière des travailleurs est aussi un des éléments très importants afin d'éviter le travail bâclé et le détournement ; le suintement économique et gestionnaire. Qu'on ne laisse pas croire que la malhonneteté est une chance.


Il faut aussi l'union dans le travail et ne jamais croire que la chose commune ne peut pas être sous la responsabilité d'un individu. La négligence est aussi une voie d'appauvrissement de nos Diocèses. Voilà, la conscience qui doit être inculquée dans la mémoire de tout le monde afin de construire nos diocèses qui demeurent éternels enfants à l'endroit des églises mères de l'Europe.


Pour dire un dernier mot, l'aspiration de nos diocèses à des moyens plus honnêtes contribuant à l'édifice est très nécessaire. Le commerce n'est pas mauvais ; mais il faut, à travers lui, témoigner le Christ. Il faut donc chercher à augmenter les potentialités pour stabiliser l'économie de nos Diocèses, par les actions concrètes et non par un idéalisme endormant, car, il existe un clivage fondamental entre le logos et la praxis. Et sans doute profiter de manière directe de la capacité potentielle de leurs fils. Fournir à chacun les études qu'il faut par rapport à son don naturel. Ce mélange donne quelque chose de surnaturel.


Tout doit partir de la tête vers un travail tout à fait concret. Voilà l'idéal pour nos Diocèses.




Grand Séminariste Fabrice IYANZA MBOLONGI









Activités du Père Evêque

Mgr l'évêque a reçu aujourd'hui Mgr Mongo André, vicaire épiscopal de la région apostolique Nord qui est revenu hier de la session "Mission sans frontière" Mgr André lui en a fait la restitution.
Et dans l'après midi, à 16h00;Mgr a rencontré les chrétiens de deux paroisses, St Albert et St Jean.
dans l'entretien; Mgr s'est basé sur le texte d'Ezekiel 33, 7-11; pour leur dire qu'il est la sentinelle et il ne peut se taire. "Si nous ne prenons garde, beaucoup d'entre nous mourrons de faim. Les gens vivent misérablement et difficilement. Il y a carence de maïs, manioc et les poissons, la viande se vendent très cher.
[Il y a une embarcation qui va, toutes les deux semaines, à plus de 140 km ( Tolo, ..) d'Inongo pour aller acheter les chikwangues;le fufu et venir les revendre à Inongo au triple de leur prix. L'arrivée de cette embarcation déclenche une ruée des femmes. On se croirait dans un camp de réfugiés à la distribution de la nourriture.]
Et cela, c'est à cause d'une certaine paresse et le refus de s'engager pour des travaux champêtres.Le refus de tranformer cette terre que le Seigneur nous a donnée.
Dieu nous a comblés en nous donnant une terre fertile et pleine de potentialités. Profitons des fruits de la terre en travaillant. Travaillons pour mettre fin à la famine qui nous guette." Surtout en ce temps de carême.

SES PAS

 
A la fin de sa vie,
un homme regarda en arrière
et vit que,
tout le long du chemin,
il y avait quatre empreintes de pas sur le sable,
les siennes et celles de Dieu.
 
Mais dans les moments difficiles,
il n'y en avait que deux!
 
Très surpris, et même peiné,
il dit à Dieu:
Je vois que c'est justement
dans les moments difficiles
que Tu m'as laissé seul...
 
Mais non lui répondit Dieu,
dans les moments difficiles,
il y avait seulement
les traces de mes pas à moi,
parce qu'alors ......
 
je te portais dans mes bras.
 
( Auteur Adémar de Borras, Brésil )
 

lundi 23 février 2009

ASSEMBLEE DES PRETRES



     

THEME : « Prêtres au service de la vie pour l'avènement du Royaume » (Jn 10, 10)

Lieu : centre d'accueil / Inongo

Date : du 8 au 12 février 2009

 

Il s'est tenu, au centre d'accueil une rencontre des tous les prêtres d'Inongo.

 

Mgr l'évêque, après avoir remercié le Seigneur qui nous a donné l'occasion de nous rencontrer, a  souhaité la bienvenue à tous les participants, sans laisser dans l'ombre l'effort consenti par chacun pour atteindre ce lieu et ainsi répondre à l'appel.

Il a en outre présente les excuses pour le report de la date initialement prévue. Report qui serait à la base  de l'absence de certains confrères.

Parlant de l'objet de la rencontre, il a montré la nécessité, pour les nouveaux acteurs, nouveaux pionniers du deuxième centenaire  de nous mettre ensemble, de nous asseoir pour réfléchir et bâtir sur le roc. Car, a-t-il insisté, la responsabilité que nous portons devant Dieu et devant les hommes est une responsabilité historique. Nous devons devenir des acteurs de l'évangélisation.

 

Photos:

 

  1. Mgr parle aux  prêtres
  2. Une vue des prêtres

    3. Mgr remercie ceux qui se sont occupés de la cuisine durant l'assemblée   

                
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                ! M
               

dimanche 22 février 2009

Bon et Heureux anniversaire

De tout coeur tous mes voeux de bon et heureux anniversaire à tous les abbés. Puisse Le Seigneur les soutenir dans leurs apostolat respectif.
Une prière également pour l'anniversaire d e décès de l'Abbé Jacques.
 Voyageuse
 
 

Anniversaires... 22 Février


 

1. Joyeux anniversaire d'ordination sacerdotale aux abbés :

 

  1. Jean-Pierre Mabruki, Curé de Mushie ( 22 Février 1987)
  2. Jean-Michel Botoko , économat / Inongo( 22 Février 1998)
  3. Jean Claude Nshole, Curé De Bongimba( 22 Février 1998
  4. Christian Masofete, soins médicaux/ Kin ( 22 Février 1998)
  5. Marcel Etwamina, Paris/ France ( 22 Février 1998)

 

2. Joyeux anniversaire de naissance à l'abbé Alidor Nzeke, Coordinateur des écoles conventionnées catholiques

 

3. Anniversaire de décès de l'abbé Jacques Bokolo ( dcd le 22 Février 1983), il fut Aumônier Général des Forces armées Congolaises.

       
                
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                ! M
               

Evangile de ce dimanche: Lève-toi, prends ton brancard et rentre chez toi.

 

En raison des foules, Jésus avait pris la décision de ne pas entrer publiquement dans les villes (Mc. 1. 45). Il le fait donc discrètement, mais cela ne peut rester ignoré.

Aujourd'hui, nous le trouvons, sans autre précision « à la maison », une maison où il a l'habitude de venir, comme étant un peu la sienne.

La foule se bouscule à l'extérieur au point que l'entrée en est obstruée. Nul ne veut laisser sa place à un autre . Chacun de nous peut imaginer tout l'effort fourni par ces quatre hommes qui cherchent à porter le paralysé au devant de Jésus. Il n'est pas facile de manœuvrer un brancard au milieu d'une foule. Il faut jouer du coude, monter le malade jusque sur le toit puis le descendre délicatement dans la pièce. Ils veulent à tout prix rejoindre Jésus : Il est le prophète, puissant en paroles et en actes. Lui seul est capable de susciter une telle confiance.

 Pour le rencontrer, ils ne craignent pas de traverser murs et plafonds. Les limites de l'impossible se déplacent. Leur imagination rejoint l'audace de leur foi : ils  montent afin de rejoindre Jésus directement. Ils obtiennent ainsi un espace suffisant pour y faire glisser le paralysé. Il ne suffisait pas d'écoute. Il fallait agir pour que le paralysé soit guéri.

Pour rejoindre Jésus, toutes les audaces sont permises, surtout quand elles ont pour origine la
charité. Rien ne peut se faire tout seul. Chacun de nous a besoin des autres pour être conduit aux pieds de Jésus et en recevoir la grâce. Les autres ont autant besoin de nous que nous avons besoin d'eux.

Ce que le Seigneur attend de nous en réponse, ce n'est pas seulement un silence admiratif, une simple pensée de reconnaissance. Il attend que notre réponse soit une recherche pour le rejoindre dans une inlassable recherche du chemin apte à le rejoindre, avec nos frères dont nous portons le grabat et le brancard, au travers l'obstacle de la foule et de la toiture.
Avec lui, il n'y a jamais de situation désespérée. Il est venu inaugurer "un monde nouveau". Il ne veut plus se souvenir de nos fautes passées. S'il veut nous libérer de nos péchés, c'est parce qu'ils paralysent la libre circulation de l'amour entre les hommes.

Il attend nos audaces pour accomplir des actes positifs à la louange de sa gloire, puisque, malgré nos infirmités, il nous donne cette possibilité de nous lever, de nous dresser et de marcher.

 

Photos :

  1. le paralYsé guéri : le brancard est resté vide
  2. Le malade paralysé a besoin des autres
  3. Prier pour les malades et les secourir est un devoir chrétien


       
                
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                ! M
               

samedi 21 février 2009

Joyeux Anniversaire

Joyeux Anniversaire Ya Philippe,
Auguri ya philippe per il suo Compleanno, Grazie a Dio per questo dono prezioso che per la nostra Diocesi d'Inongo, Auguri
 
Tua sorella Francine Massa

Joyeux Anniversaire


A Mgr Philippe tous nos voeux de bon et heureux anniversaire. C'est avec beaucoup d'intérêt que nous suivons le travail que vous réalisez et c'est de tout coeur que nous sommes avec vous en cette belle journée.
C'est aussi l'occasion pour vous dire "merci" ainsi qu'à tous vos prêtres pour les prières que vous avez faites lors de mon opération. Tout s'est bien passé et ma convalescence se passe très bien. Encore "merci" et surtout fêtez bien votre anniversaire.
Jean et Bénédicte

Bon Anniversaire

Bon anniversaire Ya Philippe, puisse Le Seigneur vous accorder encore de nombreux anniversaire à fêter. C'est aussi l'occasion pour vous dire combien chacun ici suit le travail que vous réalisez et vous disent de tout coeur "félicitations" pour votre courage, votre exemple....
Aujourd'hui nos pensées priantes seront spécialement pour vous.
Voyageuse




Joyeux anniversaire de naissance à ya Philippe, notre évêque (71 ans).


 

Par la mission canonique, l'évêque assume le gouvernement du diocèse. Par ses conseils, ses exhortations et son exemple, ainsi qu'avec l'autorité et le pouvoir, ya Philippe dirige notre diocèse, l'Eglise particulière qui lui a été confiée...

A ya Philippe, notre évêque, notre grand- frère et notre ami, joyeux anniversaire de naissance ( né à Nioki le 21 Février 1938).

Que le Seigneur vous protège et vous donne toutes les grâces utiles pour continuer à édifier les fidèles qui vous ont étés confiés ( LG 27).

       
                
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                ! M
               

C'est jeune...

Oui c'est jeune, trop jeune pour s'en aller. Qu'il repose en "paix". Ma prière lui est assuré , je suis certaine que de làhaut il veille sur son cher "Inongo".
 
Voyageuse
 

Anniversaire de décès de l’abbé Jean-Jacques KELIKI

 

 

Nous recommandons à vos prières l'âme de notre confrère Jean-Jacques Keliki, né le 27 Avril 1969 à Inongo, ordonné prêtre à Inongo le 13 Août 2001 et décédé le 21 Février 2005 à Inongo après une courte maladie. Il avait 35 ans.

Après son ordination, il était professeur au petit séminaire de Bokoro puis il a été muté à la paroisse St Jean-Baptiste d'Inongo ( Likwangola) comme vicaire. Que son âme repose en paix.



 
       
                
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                ! M
               

vendredi 20 février 2009

Très belle comparaison...

 
On peut sourire, mais c'est une belle comparaison. Mais les astronautes du ciel voltigent et sont en apesanteur. Nos astronautes de la terre portent le poids de tout leur matériel et doivent faire des gros efforts pour avancer... Courage à tous et surtout bonne persévérance à nos diacres...
 
Voyageuse
 
 

Les confrères prêtres "astronautes" : la mission Ad Gentes..


Tous nous avons déjà vu des images des astronautes dans l'espace. Leur façon de s'habiller, de se protéger et de se déplacer a émerveillé plus d'un.

Les confrères prêtres au diocèse sont obligés de faire l'apostolat, rejoindre les chrétiens dans les divers coins de la paroisse. Ils le font avec joie et zèle. Mais dans quelles conditions ? Parfois, dans leurs voyages ils ressemblent aux « astronautes » avec cette différence ci que les uns sont dans l'espace et eux sur terre. Il faut les voir s'habiller avant d'affronter ces voyages, il faut les rencontrer en plein voyage et voir comment ils bougent, tournent la tête et le torse d'un même bloc, pour les équiparer aux « astronautes » terrestres… .

En les voyant en effet, on se rend vite compte que la rotation du torse joue un rôle très important. Le regard doit donc glisser d'un repère à un autre pour éviter les arbres tombés et ne pas sortir de "l'espace".

Raison pour laquelle, déjà comme diacres, il faut des séances particulières d'entraînement pour réaliser cette expérience et réussir les mouvements angulaires oeil-tête-torse durant les voyages pastoraux.

Félicitation à vous les confrères et à tous ces braves chrétiens qui vous aident à éviter le pire.





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! M

une session de formation

Il s'est tenu à Kutu (Lonkesa) du 16 au 19 février 2009, une session de formation ," mission sans frontière". Cette session a été organisée par le CIAM des pères de Scheut (Centre d'Information et d'Animation Missionnaire). cette session a connu la participation de delegués venus de quqtre coins du diocèse.
la session a eu comme prétention: la transformation du monde où se trouve les exclus et les laissés pour compte; la sensibilisation des agents pastoraux à la question sociale, à la réflexion en vue des transformations, des changements de comportement concernant notamment la protection de l'ecosystème, la revendication des droits et l'instauration de l'Etat de droit, bref le changement de mentamité des agents pastoraux.
Le Ciam a été representée par son directeur, le Père Pedro Mwamba.

Pensée du jour

"Le sage ne dit pas tout ce qu'il pense, mais pense tout ce qu'il dit" (Aristote)

jeudi 19 février 2009

Activités du Père Evêque



Après l'assemblée des prêtres , Mgr a réuni son conseil épiscopal, du 16 au 18 février au centre d'accueil pour voir comment appliquer certaines recomandations de l'assemblée.
Et aujourd'hui, il a reçu individuellement les vicaires épiscopaux.

Pensée du jour

Si des embûches se dressent sur votre chemin,
changez de direction, mais non de destination.

mardi 17 février 2009

photos assemblée diocésaine/inongo

 

 

Voici quelques photos de l'assemblée diocésaine des prêtres à Inongo

 

       
                
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                ! M
               


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dimanche 15 février 2009

Soeur Francine ce a dit ce 11 février

Bonne chance monsieur l'Abbé Didier, de tout coeur que le Seigneur bénisse le diocèse d'Inongo et courage aux nouveaux diacres.Wa bino ndeko Soeur Francine


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MESSAGE DES PRETRES AUX CHRETIENS

Inongo, le 12 février 2009

 

Bandeko ba bolingo

 

Boboto bwa Mokonzi bozala na bino !

Na motema esengo, biso ba Nganga Nzambe ba bino, topesi bino longonya mpe merci mingi  mpo ya bisambo bosambeli mpo ya biso ; totondi mpe bino mpo ya  biloko bokongolaki  mpo ya likita lisangisaki biso na Tata Episkopo. Na likita lyango totondi Nzambe mpo ya Nsango Elamu tozwi eleki sika mbula nkama moko. Awa tobandi mbula  ya nkama mibale ya liloba, totali boni boni na mosala mwa bonganga- Nzambe, biso tokoki mpe tosengeli  kotombola mpe kokolisa bomoi bwa biso mpo 'te bokonzi bwa Nzambe bopikama o kati ya biso.

Mpo ya bokolisi bomoi bona o kati ya diocese ya biso , tokamati  boko mikano. Lokola mikano mina mitali  bomoi bwa banganga-Nzambe na bomoi bwa  bino bandeko bakristu, yambo 'te mikano mina mikomela biso banso, tokosenga na moko moko wa biso ayeba koyamba miango na motema mobimba  mpo ya bokolisi  bomoi na ntina 'te Bokonzi bwa Nzambe boya o kati ya diocese ya biso. Tolingi 'te maloba ma Mokonzi Yezu makokisama : « Ngai nayei mpo 'te mpata izwa bomoi, izwa bwango mingi » ( Jn 10, 10)

Mbote na bino banso. Botikala na boboto.

 

Tata Episkopo, Ya' Philippe  na

Biso ba Nganga Nzambe ba bino,


 

  

 

 



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samedi 14 février 2009

J' aimerai......

 
 
J'aimerai en ce moment me recueillir quelques instants devant la mémoire de "Nancy" jeune femme courageuse qui voulait entreprendre des études afin d'avoir une vie meilleure et de pouvoir offrir à son petit garçon un avenir plus certain. J'aimerai aussi dire à sa famille combien le décès de "Nancy" m'a touchée et combien je partages leur peine.
 
Non, nous ne pouvons pas rester indifférent à la souffrance de  l'autre, une visite, un sourire, la compréhension , apporter un peu d'amour, très souvent aide le malade a garder un peu le moral. Mais ce n'est pas assez ,les paroless sont des paroles, elles passent....elles émeuvent... il faut aussi des actes....le malade a beau recevoir toutes nos attentions, mais quand le matériel  et les moyens ne sont pas là pour le soigner, il sait aussi quel sera le résultat final.
 
Le bureau diocésain pour les oeuvres médicales a du travail, mais il faut aussi que l'on lui donne les moyens. Et alors je me dis, pourquoi parmi l'élite, parmi ceux qui ont fait leur spécialisation ne donnent t'ils pas 1 ou 2 ans de leur carrière pour soigner ceux  à l'intérieur  du pays, pourquoi ne pas faire un roulement, car on peut comprendre que chacun veut faire carrière et assurer son avenir. N'existe t'il pas des associations qui s'occupe d'engagements de ce type. Le "blog" est lu par plus de 80 pays, n'y a t'il pas là, des gens aux grands coeur qui diront, mais oui ces associations existent et je vais voir si je peux me rendre utile.
 
Selon les statistiques le "blog" est lu de plus en plus , je pense qu'il est lu  par des personnes qui s'y intéressent parce qu'ils sont ancien et anciennes d'Inongo, par les originaires de la région, par les non originaires. Il est lu parce qu'il est beau, intéressant et nous montre un Congo autre que celui que nous montre la télévision et les journaux....Ce qui m'étonne c'est le peu de réactions.... un petit mot de participation aux joies comme aux peines..... des petits commentaires qui montrent à ceux qui y travaillent et a tous ceux qui y vivent que même de loin on partage leur vie.et que l'on les encourage. Le peuple le sait; Je  suis certaine que ceux qui ont l'internet le disent. C'est peu de choses un petit mot, cela prend peu de temps.et fait tant de bien. C'est une façon de participer avec nos pauvres limites  C'est mon partage pour aujourd'hui, je n'ai pas réagit directement en lisant l'article sur "Nancy"  car il fallait faire en moi un tri dans ma tristesse, ma révolte et ma colère.
Repose en paix "Nancy" puisse ta mort éveillé des vocations pour aller soigner les tiens. Courage à ta famille et toute ma tendresse pour ce petit garçon qui désormais devra vivre sans sa maman et qui ne comprend pas pourquoi elle n'est plus là.
 
Voyageuse
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 


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vendredi 13 février 2009

Elle s’appelait Nancy

 

 

Pour prolonger notre réflexion sur la journée mondiale du malade et apprécier  les paroles du pape à cette occasion, je voudrais partager avec vous le fait suivant.

La fille que vous voyez dans cette photos s'appelle ( s'appelait, je voulais dire) Nancy. Elle avait 24 ans, mère d'un petit garçon ( la photos la montre avec son enfant).

Elle est venue me trouver pendant ces vacances pour me dire  qu'elle voudrait poursuivre ses études au niveau supérieur; son enfant, elle va le confier à sa maman qui avait déjà donné son accord pour s'occuper de lui pendant qu'elle se rendrait au cours.

Un jour, je reçois un coup de téléphone de sa mère: « Nancy est malade, le médecin pense qu'elle a un problème au cœur et nous a demandé d'aller rencontrer un cardiologue.  Nous nous préparons pour aller à Kinshasa, le temps d'apprêter un peu de mais et manioc à vendre quand nous arriverons à Kinshasa…  pour payer ses soins médicaux ».

Le temps d'y réfléchir, quelques jours après, un autre coup de téléphone. Je m'attendais à ce qu'elle m'annonce le voyage pour Kinshasa mais j'ai directement deviné qu'il y a quelque chose qui n'allait pas… vous pouvez imaginer la suite. C'était pour m'annoncer que Nancy est morte

Et ceux qui meurent dans ces mêmes conditions, c'est-à-dire les « Nancy » qui nous laissent alors que  leurs visages reflètent  le désir de vivre sont nombreux….Que faire ?

Ecoutons cet autre extrait des paroles du pape à l'occasion de cette journée du malade: "La communauté chrétienne ne peut rester indifférente face à ces situations aussi dramatiques et a le devoir d'intervenir... En conséquence, je souhaite que la Journée mondiale du malade donne aux communautés paroissiales et diocésaines l'opportunité de prendre davantage  conscience d'être la famille de Dieu, et je les encourage à rendre perceptible...l'amour du Seigneur qui nous demande justement que, dans l'Eglise en tant que famille, aucun des membres ne souffre et ne se trouve dans le besoin".  Benoît XVI observe ensuite que "puisque l'enfant malade fait partie d'une famille qui partage ses souffrances souvent accompagnées d'importants inconvénients et difficultés, les communautés chrétiennes ne peuvent pas ne pas aider les cellules familiales touchées par la maladie d'un fils ou d'une fille. En suivant l'exemple du bon Samaritain, il nous faut nous pencher sur les personnes durement éprouvées et leur offrir un soutien par une réelle solidarité".

 

Le bureau diocésain pour les oeuvres médicales a du pain sur la planche. Aucun de nos hôpitaux au diocèse n'a un service de cardiologie… !

       
                
            __ !__
                ! M
               


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jeudi 12 février 2009

Clôture des travaux de l’assemblée diocésaine des prêtres


Ce matin, Mgr l'évêque entouré de ses prêtres, a célébré la messe de clôture de l'assemblée diocésaine des prêtres. Nous vous en ferons part au moment utile.

       
  Quelques photos:     

 

  1. Abbé Ignace Ngara, curé de  Marie Reine/ Kutu

  2 Abbé Alidor Nzeke, coordinateur des écoles conventionnées catholiques du diocèse

  3. Abbé Jean-Paul Issay, Vicaire de la cathédrale

  4. Abbé Pierre Ezoka, vicaire de St Michel/ Nioki

  5. Abbés Benjamin Biayi ( Prof petit Séminaire) et Teddy Iyemebwi (Vicaire Taketa)         

            


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mercredi 11 février 2009

Aujourd'hui l’Eglise célèbre la XVII Journée mondiale du malade


Aujourd'hui l'Eglise célèbre la XVII Journée mondiale du malade, commémorée chaque année le 11 février, en la fête de Notre-Dame de Lourdes.

Nous vous proposons ici un extrait du message du Pape Benoît XVI à cette occasion :  

Cette année, écrit-il, "notre attention se tourne particulièrement vers les enfants...et parmi eux, les enfants malades et tous ceux qui souffrent. De petits êtres humains portent dans leur corps les conséquences de maladies invalidantes, et d'autres luttent contre des maux aujourd'hui encore inguérissables malgré les progrès de la médecine... Des enfants sont blessés dans leur corps et dans leur âme par les conflits et les guerres, et d'autres sont des victimes innocentes de la haine d'adultes insensés. Il y a aussi les enfants des rues, privés de la chaleur d'une famille et abandonnés à eux-mêmes et des mineurs profanés par des personnes abjectes qui violent leur innocence en leur causant une blessure psychologique qui les marquera pour le restant de leur vie. N'oublions pas non plus le nombre incalculable de mineurs qui meurent de soif, de faim, faute de soins, ainsi que les petits exilés et réfugiés qui ont quitté leurs terres avec leurs parents à la recherche de meilleures conditions de vie. Pour tous ces enfants s'élève un cri silencieux de douleur qui interpelle notre conscience d'hommes et de croyants".

Au diocèse, la pastorale des opérateurs sanitaires et des malades est confiée au bureau diocésain pour les oeuvres médicales. Les efforts se font pour que nos frères malades soient soignés dans les meilleures conditions malgré la situation générale du pays.

C'est l'occasion  de prier pour tous les malades et surtout pour les enfants qui souffrent et qui n'ont pas des moyens pour se faire soigner.

 Nous pensons à tous ceux qui meurent dans des villages puisqu'il n' y a pas une seule aspirine au dispensaire, nous pensons à tous ces enfants qui grandissent avec des malformations qu'on pouvait bien leur éviter…nous pensons aux parents qui assistent impuissants à la maladie et à la mort de leurs fils…

 Nous louons les efforts qui se font : merci à nos médecins et infirmiers qui travaillent dans des conditions difficiles, qui opèrent de nuit avec une lampe tempête , merci à nos accoucheuses  qui font des «miracles» dans les petites maternités de nos villages… Votre zèle est  un éloquent témoignage d'amour pour la vie humaine.

Pour vous, frères et sœurs malades qui ne pouvez même pas vous faire soigner pour des multiples raisons, nous empruntons les mots du Saint Père: s'élève un cri silencieux de douleur qui interpelle notre conscience d'hommes et de croyants.

Enfin, nous remercions tous ceux qui nous font du bien au nom de notre Seigneur Jésus_Christ , Médecin des corps et des âmes.

 

Photos:

  1. Un enfant malade  de Semendwa , il faut rejoindre Bokoro ( à pied) à 64 km pour le soigner!
  2. Nadège restera toute sa vie borgne…s'il y avait un ophtalmologue , on aurait peut être  pu éviter le pire !
  3. L'évêque, dans la commission de la pastorale sanitaire, rejoint le souci de l'Eglise pour cette catégorie des personnes !
  4. L'évêque bénit un enfant malade : cri de douleur  au cœur !
  5. L'union fait la force.. nous comptons sur les efforts du dedans et du dehors !

       
                
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                ! M
               


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Mgr Donatien Bafuidinsoni, sj

Mgr Donatien Bafuidinsoni, sj
31.03. 2018-

Mgr Jan Van Cauwelaert, cicm

Mgr Jan Van Cauwelaert, cicm
(06.01.1954-12.06. 1967) + 18.08.16

Mgr Léon LESAMBO

Mgr Léon LESAMBO
(12.06. 1967-22.07. 2005) + 19.11.17

Mgr Philippe NKIERE KENA, cicm

Mgr Philippe NKIERE KENA, cicm
27.07.2005-31.03. 2018

PETIT SEMINAIRE ST LOUIS DE GONZAGUE

PETIT SEMINAIRE ST LOUIS DE GONZAGUE
BOKORO