lundi 3 décembre 2007

LES ETUDIANTS S’UNISSENT


MUTUALITE DES ETUDIANTS DE MAI-NDOMBE ET PLATEAUX
MU.E.MAP

Chers compatriotes ressortissants de Mai-Ndombe et plateaux, vous n'imaginerez peut-être pas à juste titre à quel point nous, étudiants, originaires du même coin de la république que vous, éprouvons tous azimuts cette incommensurable joie de pouvoir être devant vous nos aînés, notables, et ceux qui sont l'émanation de la population de chez nous, de sorte à pouvoir créer un cadre permanent de concertation entre notre classe politique kinoise, les étudiants et notre population restée au Mai-Ndombe /Plateaux .Cela afin d'avoir les informations fiables de manière à envisager de nouvelles perspectives pour préparer l'avènement de notre future province qui cette fois-ci ne sera dirigée que par nous-mêmes.

Au regard de la misère qui sévit dans l'actuel district de Mai-Ndombe dont il est question ici, nous affirmons qu'il se passe des choses incroyables. Sans doute ceux d'entre vous qui s'y sont rendus pour des campagnes électorales, missions de services ou vacances, nous comprendront car ils en savent quelque chose .Ainsi, nous vous faisons part de nos suggestions qui constituent une sonnette d'alarme pour qu'enfin les choses avancent aussi chez nous.
Pour arriver à ces suggestions, nous avons posé un diagnostic, et celui-ci a donné des résultats que nous vous proposons. Au Mai-Ndombe nous avons des faiblesses et des atouts, mais nos faiblesses sont plus graves qu'elles ne nous permettent vraiment pas de décoller comme les autres. Ceci dit, notre intervention s'articulera sur plusieurs failles regroupées en trois points dont un grand et deux petits à savoir :

La situation de précarité du Mai-Ndombe
Les relations interpersonnelles L'encadrement des jeunes diplômés


La situation de précarité du Mai-Ndombe

Chers aînés, loin de nous tous les appétits politiques, des intérêts égoïstes ou d'autres antivaleurs .Ainsi, l'amour et le souci d'un bien-être commun nous ont poussés à braver nos peines et nos peurs pour vous informer de ces choses comme le font les collègues d'ailleurs. En effet, nul n'ignore à ce jour que la future province de Mai-Ndombe est avant toute chose une région à vocation agricole quand bien même qu' Henry Morton Stanley soit passé par là et que Léopold II, le Roi conquérant Belge l'appela «Domaine de la Couronne » L'on peut éventuellement pratiquer la pêche et l'élevage pour ne citer que ceux-là.

  1. L'agriculture

    En ce qui concerne l'agriculture, le Mai-Ndombe est un vaste chantier où l'on peut élaborer des projets, développer l'agriculture industrielle ou mécanisée et les mettre en place dans le but d'apporter à tous ceux qui auront à travailler la terre d'être bénéficiaires de la science appliquée dans le domaine de la production et l'économie domestique. L'on peut également apporter et vulgariser de nouvelles connaissances pratiques à bien des gens quels que soient leur niveau d'instruction et leur âge afin de leur faire acquérir des connaissances utiles pour résoudre les problèmes qui se posent. A titre d'exemple la mécanisation de la culture de Riz de Ntandembelo, les mais produits à Oshwe etc. Suite à tout cela, il conviendra de créer également des dépôts pour conserver ces produits agricoles
    A ce sujet, nous pouvons nous inspirer de la chine de Mao Tsé Toung qui a pris son envol économique en s'appuyant sur son agriculture.

I.2.La pêche

On peut réfléchir sur la manière dont l'Etat peut restaurer de l'ordre en réglementant ce secteur. On raconte que les poissons meurent de vieillesse dans nos différents cours d'eaux (dans le lac d'Inongo, la rivière Lokoro, Molibampe et les différents confluents dans la région..). Il faudra voir dans quelle mesure décourager certaines pratiques fâcheuses de capture des alevins ( très petits poissons), exiger des dimensions requises pour les instruments de pêche, stigmatiser certaines sortes de pêches qui emportent tous les poissons sans rien laisser pour la progéniture. Mettre en place une structure qui regrouperait tous les pratiquants en vue d'une politique de formation économique de la pêche dans toutes les zones poissonneuses : Lokoro, Inongo, Mushie, Molibampe, Lolabu etc..

En outre, il y a nécessité de construire des chambres froides pour conserver d'importantes quantités des poissons qui se perdent souvent durant la saison sèche, mettre sur pied des unités modernes de pêche pour nos rivières y compris notre lac.

I.3 L'Elevage

A propos de l'élevage ; ne pourrons-nous pas envisager de former des gens pour apprendre à élever de volailles, bovins…, penser à la construction des industries agro-alimentaires dans la région ?

Avec la loi sur la décentralisation qui est déjà en gestation et que Le président de la république a rappelé dans son dernier point de presse du jeudi 13 septembre le fait que les deux provinces les plus pauvres de la R.D.Congo étaient l'Equateur et le Bandundu, nous nous demandons si ce n'est pas là l'occasion de discuter profondément sur la problématique du développement chez nous. Le forum sur la décentralisation tenu au Grand Hôtel a balisé la voie sur la caisse de péréquation ou de solidarité pour notre survie.

Nous pouvons d'hors et déjà commencer à penser à ce que l'on pourra véritablement produire. A ce sujet Mario Cardoso Losembe a persisté et signé : « Le 40% de 0% est égal à
0% ».C'est un peu comme ce que dit St Paul dans la Bible : « celui qui ne travaille pas qu'il ne mange pas non plus ». D'où, il nous faut travailler avec ardeur pour que la clef de cette répartition nous soit dûment rétrocédée au lieu de compter sur la bienveuillance des autres provinces. Tout de même un effort doit être constamment déployé. Au besoin, promouvoir certains métiers symboles d'antan tels ceux déjà précités et autres.

Il y a urgence de créer, transformer et adapter certaines humanités techniques et des écoles dispensant des matières et des connaissances théoriques tout en réajustant des programmes généralisés déjà révolus au profit de ceux qui sont plus pragmatiques.

Dans le même ordre d'idée, envisager la remise en état de toutes les anciennes voiries de circulation surtout routières même en terre battue tout en les révisant si moyen il y a. Restaurer et relancer les ponts et les traversées de nos Bacs comme il se doit ; de manière à permettre l'évacuation dans un délai record des nos dessertes agricoles vers la capitale et l'acheminement des biens de première nécessité de la capitale vers Mai-Ndombe aussi, affréter des bateaux, ouvrir des pistes d'atterrissage, reprendre des cantonnements manuels.

Ayant appris par la voix des ondes que le gouvernement de la république par biais du ministère du travail et de prévoyance sociale, son excellence Marie-Ange Lukiana a promis dans le cadre du plan quinquennal du chef de l'Etat: La création d' emploi, une révision sérieuse des conditions de travail et l'enveloppe salariale pour les travailleurs congolais en général et que déjà l'impulsion va commencer incessamment à Kinshasa la ville province et ailleurs qu'en serait-il de nos compatriotes au Mai-ndombe qui jusque là, ils sont sous employer ; ne touchent qu'un salaire modique (tous les secteurs confondus) le quel ne permet à personne de nouer les deux bouts du mois , sans les avantages sociaux reconnus par la convention internationale du travail ?

Dans tout cela, nous espérons aussi que toutes ces grandes compagnies en l' occurrence :,BIMPE ,I.T.B , J.V.L,SODEFOR et autres qui exploitent nos différentes ressources naturelles sans penser ici une politique de reboisement. contribueront au développement de notre future province Ainsi, nous vous informons qu'à ce jour, les territoires des plateaux sont les plus affectés par la maladie du sommeil et s'appauvrissent en terres cultivables .Par contre, la société J.V.L n'envisage même pas construire les infrastructures médicales dignes de ce nom pour soigner ou indemniser toutes ces victimes.

Les images ramenées d'Oshwe au mois de septembre dernier par l'honorable Michel Ngonkoso et diffusées sur les antennes du Digital Congo ont parlé d'elles-mêmes. Malgré que des centaines de milliers de m3 de bois ou grumes exports qui sont déroulés, débités, exploités chaque jour, les écoliers de chez nous vivent un paradoxe inexplicable. Ces pauvres enfants apprennent à lire et à écrire à même le sol sans tableau ni banc dans des salles de classes sans porte ni fenêtre alors que les bois qui servent à la fabrication des meubles ailleurs sont coupés , sciés, déroulés bref… traités industriellement derrière leurs pauvres maisons.

De même , la plupart de manuels didactiques des nos écoles ( mêmes les plus aisées ) sont vétustes ; alors que ce qui fait la fierté du Mai-Ndombe à l'échelle nationale voire mondiale , c'est son intelligentsia. Ainsi pour redorer ce blason, nous proposons que l'on entreprennent des démarches avec de grandes maisons d'éditions telles : C.R.P, Saint Paul et autres afin d'organiser avec l'Unesco et/ou d' autres partenaires des concours littéraires, scientifiques, techniques et culturels ; faire la promotion de la culture du changement constructif de mentalité, faire prendre conscience de l'avenir du Mai-Ndombe comme un grand ensemble. Promouvoir des activités ludiques pour l'émergence du sport chez nous parce que d'ici là ; toutes nos équipes de football et nos athlètes seront élevés au rang provincial plutôt que territorial ou sous régional comme maintenant. Il convient d'agir vite pour du moins sauver le peu de meubles qui restent encore dans la maison. C'est sans doute le moment d'agir afin de sauver la barque en faveur de ces enfants sacrifiés qui nous remplaceraient demain. D'où il faut planifier une politique éducationnelle et socioculturelle adéquates pour cette jeunesse qui continue à se pencher à terre pour écrire et lire en plein vingt et unième siècle.

Quel héritage ? Quel avenir ?

Honorables députés et sénateurs , chers aînés notables et distinguées personnalités de chez nous , ayant largement scruté les divers problèmes touchant ainsi aux conditions de vie de nos concitoyens , nous ne saurions vous laisser parcourir toutes ces lignes sans pour autant faire allusion à la situation très déplorable dans la quelle se trouvent toutes nos infrastructures de base. Savez-vous qu'il n'existe chez nous au Mai-Ndombe aucune infrastructure adéquate ? Pas d'hôtels, les seuls bâtiments encore existant sont ceux légués par les colonisateurs, en délabrement avancé et dont la dangerosité est très grande pour ceux qui les occupent encore. Le Mai-Ndombe à ce jour ne compte ; aucune bibliothèque, aucune salle de spectacle, ou de lecture pour faciliter le ressourcement intellectuel ; aucun stade ou université pour ne citer que ceux-là.

Les moyens de communication sont quasi-inexistants. Que nos aînés s'attèlent à la création des radios communautaires et l'implantation des chaînes de télévisions parce que jusqu'alors la radio et la télévision nationales ne sont pas encore captées dans la majorité de nos cités et villages .Pas seulement qu'on édite pas des journaux chez nous mais on ne les vend même pas pendant qu'ailleurs dans ce même pays , certains titres paraissant à Kinshasa parviennent hebdomadairement. Que faire ? Pourquoi ne pas réfléchir avec nos éminents journalistes œuvrant à Kinshasa tels : KINTUNTU, BONDO N'SAMA, LADY LUYA et autres.

Il convient également de voir dans quelle mesure il faut régulariser le transport en commun non seulement pour évacuer dans le délai les produits agricoles et d'autres marchandises…, mais aussi et surtout pour le déplacement des personnes qui voyagent avec leurs biens. Il sied signaler que nos frères et sœurs voyagent jusqu' 'à ce jour dans des conditions infrahumaines ; non seulement ils mettent plus ou moins 10 jours pour atteindre la capitale Kinshasa et écouler leurs produits mais également ils mettent aussi leurs vies en danger avec risque de noyade surtout pour les cas des embarcations en bois surchargées bafouant pour la plus part les normes de précaution et de sécurité de la navigation fluviale en vigueur sous l'œil impuissant des autorités concernées. Ils peuvent attraper des maladies infectieuses graves en buvant l'eau non propre de la rivière. Au regard de tout ceci, nous exigeons d'une part ; de revitaliser le code de la navigation tout en contrôlant scrupuleusement le tonnage pour chaque embarcation, d'autre part entrevoir comment pourrait-on construire dans un premier temps des hangars pour des voyageurs afin de les protéger contre les intempéries surtout nocturnes. Et peut-être aussi envisager le retour à long terme de la navigation des grands Bateaux courriers de l'époque. Ce n'était pas rien qu' un bateau de chez nous s'appelait « BOTOSA EBALE». Mieux vaut prévenir que guérir. Nous demandons à leurs excellences, aux élus députés et sénateurs et à bien d'autres notables de Mai-Ndombe d'œuvrer pour que nous ayons de petites banques, des projets des micro crédits fiables qui sans doute aideront à éradiquer tant soit peu la pauvreté et restaurer le pouvoir d'achat et stabiliser dans la mesure du possible des capitaux.

«L'investissement appelant investissements », nous vous exhortons à militer avec diligence de telle sorte que l'énergie électrique qui est déjà à Bandundu ville soit entrée dans le Mai-Ndombe profond ; et de là, on pourra entreprendre beaucoup d'actions de développement comme l'installation des compagnies pourquoi pas faire de notre beau et grand Mai-Ndombe un sanctuaire du tourisme

Ainsi, nous n'allons pas clôturer ce grand point sans évoquer le besoin de la remise en état de l'appareil judiciaire qui est aussi un casse-tête dans la région. Nous avons appris par des sources dignes de foi que des tracasseries de tous genres (routières, fluviales, des amendes exagérées etc..) se portent très bien au Mai-Ndombe. ; raison pour la quelle nous pensons que l'Etat doit mettre sur pied plusieurs commissions entre autre celle qui vérifierait des prix des produits de denrées alimentaires et autres produits de première nécessité que les petits commerçants achètent dans la capitale et qu'ils revendent trois fois plus chers chez nous.

2.
Les relations interpersonnelles

En dépit de ce que l'on a susmentionné, souffrez qu'ici nous vous rappelions qu'il serait curieux et étonnant même de constater que dans le Mai-Ndombe, tous nous agissons en disparité alors que nous n'avons pas de barrières géographiques graves. Quel est ce peuple ou ce regroupement humain qui avancera si les gens qui le composent ne sont pas unis? Nous partons de notre propre expérience et de celle des autres amis étudiants vivant sur les différents sites Universitaires que nous avons eu à côtoyer

  • Combien de fois n'a-t-on pas assisté impuissamment devant nos cas de morts (étudiants et certains vulnérables) incapables, de les enterrer par manque de moyens pour l'organisation ne fût-ce des funérailles ?
  • Combien de fois ne constate-t-on pas que beaucoup d'amis abandonnent leurs études et rebroussent chemin à cause de l'impossibilité de payer les frais d'études pour l'année en cours ? Les exemples sont nombreux. Après tout, on se pose la question : Est-ce l'argent ou la bonne volonté de l'homme du Mai-Ndombe qui fait défaut?

Nous estimons que ce sont plutôt nos cœurs qui sont distendus nous obligeant de gré ou de force à échouer là où les autres réussissent. Nos compatriotes de l'Est, du Bas Congo, du Kasaï et du Katanga ont peu de problèmes pour parler d'une seule voix tandis que chez nous au Mai-Ndombe, il faut souvent penser à un miracle pour avoir l'unanimité.

Bannissons ce mal qui nous dévore se manifestant continuellement devant de grands enjeux. De ce fait nous proposons de toujours rechercher le consensus devant toute situation délicate. Après réflexion profonde, nous proposons ce slogan qui a fait recette en France avec Sarkozy « Ensemble tout devient possible ». C'est pourquoi, nous plaçons cette opportunité comme une marque de prise de conscience de tout un chacun d'entre nous. Parce que nous saluons toutes les bonnes initiatives prises jusque là. Par contre, nous trouvons inadmissibles que nous continuons d'évoluer avec de telles indifférences, incroyables et dans une méfiance accrue au risque de se causer des préjudices qui n'ont qu'un seul objet : la régression pure et nette de chez nous.

S'il faut répertorier tout ce qui ne va pas chez nous, ce sera un travail très fastidieux. Sans doute nos députés et sénateurs et même le vice –ministre de la santé publique qui viennent de séjourner dans « la maison » l'affirmeront au tant que nous, parce que ils ont constaté l'état du désastre pluridimensionnel dans le quel se baigne la population du Mai-Ndombe. D'où, il est judicieux de bien réfléchir et d'agir car notre souci est que ceci constitue un appel pathétique que nous lançons à tous les fils et filles de Mai-Ndombe, d'ici ou d'ailleurs de saisir ce train du développement à la gare pour l'éveil de la conscience collective chez nous.



En fin nous espérons créer avec votre concours un grand socle de réflexion sur le quel jalonneront les éminences personnalités, les notables et pourquoi pas les élus députés et sénateurs de chez nous. Ceci étant dit nous pensons ici pour une seconde fois casser le mythe de division « bipolaire » nordiste - sudiste. Dans ce mémorandum que nous adressons en ce jour, nous souhaitons que quelles soient nos obédiences politiques, religieuses ou sociales ; les intérêts fondamentaux de notre future province priment.


Nous proposons d'organiser des descentes sur terrain avec des étudiants afin d'animer des conférences- débats, séminaires, ateliers pour édifier nos populations en quête de repère et de cette façon là, tous ceux-là qui hésitent encore ne tarderont plus d'apporter leur pierre pour la méga construction de notre édifice commun MAI NDOMBE où il fera beau vivre.


  1. L'encadrement des diplômés


Sachant que dans quelques années le Mai-Ndombe fonctionnera comme une entité décentralisée, il y a déjà lieu de penser à notre autonomie, qui cette foi-ci est indéniablement liée au facteur humain. Quoi qu'il soit industriel ou autre , le développement ne dépend que d'un élément moteur dont l'homme ; nous savons que le développement d'un peuple appartiendrait à ceux qui sauraient rassembler les hommes compétents ; pendant que le Mai-Ndombe connaît une sérieuse fuite cerveaux due au manque de volonté de ses filles et fils qui une fois formés n'y retournent plus travailler. D'après une étude menée au Mai-Ndombe cette année (juillet 2007), 30% seulement de filles du Mai-Ndombe vont encore à l'école ; de cette proportion 17% se marient et abandonnent l'école juste après le cycle d'orientation. C'est très déplorable.


De tout ce qui précède, le grand problème du Mai-Ndombe comme celui de toute la R.D.Congo, c'est celui de « l'homme ». Le père Roger Wawa affirmait dans l'émission « Profondeurs » de Kibambi Shintwa qu'il nous faut pour relancer ce pays, trois catégories d'hommes : le saint, le visionnaire et le leader.

Au demeurant, si le nombre d'universitaires qu'il y avait en 1960 n'était pas significatif au point où Mobutu a dû faire recours aux Etudiants pour remplacer le gouvernement de Lumumba et malgré cela l'homme congolais ne s'est pas redressé.


Actuellement le Mai-Ndombe possède une élite qualifiée, non exploitée en quête d'un emploi rémunérateur .Chaque année des centaines des jeunes finissent leurs études supérieures. Ainsi nous vous proposons d'initier un projet qui sera en mesure d'identifier tous les universitaires de Mai-Ndombe en vue d'un encadrement meilleur pour les employer avec efficience chez nous. Ceci se fait sans tambour battant ni anicroche dans d'autres provinces. Pourquoi ne pas essayer chez nous ??? Ensemble tout devient possible


Que vive la république Démocratique du Congo

Que vive la future province de Mai-Ndombe

Pour le comité de rédaction :
Jean de Dieu Bolisango Psychologue

Clovis Ngankoy Pschologue
Maître Blaise Christian Ilako
Maître Didas Mpinu
Maître Ernest Modua
Patrick Nshole Ipan
Maître Dishou Mokongo
Fils Djinkla Economiste

Dr Papy Ngamungabu
Fait à Kinshasa le 02 Octobre 2007.

VŒUX DES SOEURS

Samedi, 8 décembre, jour de l'Immaculée Conception, fête patronale des Sœurs congolaises de l'Immaculée Conception (SCIC), aura lieu la profession temporaire des 9 novices et la profession perpétuelle des deux sœurs (Annie Mompeye et Gisèle Nzako). Et la sœur Christine Mpia Kula fêtera ses 25 ans de vie religieuse.

Voici les noms de celles qui feront la profession temporaire.

Sr Niclette Iyenduka

Sr Constantine Abiebe

Sr Pauline Mosukande

Sr Micheline Lomboto

Sr Laurette Ivuan

Sr Bibiane Azafu

Sr Clarisse Monkango

Sr Sylvie Massamba

Sr Julie Ashanafu

C'est la paroisse Marie Reine de Kutu qui a été choisie pour ce grand événement. Une première dans l'histoire du diocèse. Car, les vœux n'avaient lieu qu'à Bokoro et Inongo.

Ceux de Kutu, qui ont acquis une certaine expérience dans l'organisation des fêtes (ordination en 2004, 2006, 2007 : ordination sacerdotale), sont fiers et contents de cette confiance qui leur est faite.

samedi 1 décembre 2007

MGR EST DE RETOUR

Mgr l'évêque est revenu de Kinshasa cet après midi. L'abbé Ntesa Jean Marie, parti à Kinshasa puis en Italie pour les soins médicaux ,est revenu dans le même avion que Mgr.

Mgr Donatien Bafuidinsoni, sj

Mgr Donatien Bafuidinsoni, sj
31.03. 2018-

Mgr Jan Van Cauwelaert, cicm

Mgr Jan Van Cauwelaert, cicm
(06.01.1954-12.06. 1967) + 18.08.16

Mgr Léon LESAMBO

Mgr Léon LESAMBO
(12.06. 1967-22.07. 2005) + 19.11.17

Mgr Philippe NKIERE KENA, cicm

Mgr Philippe NKIERE KENA, cicm
27.07.2005-31.03. 2018

PETIT SEMINAIRE ST LOUIS DE GONZAGUE

PETIT SEMINAIRE ST LOUIS DE GONZAGUE
BOKORO